Ils ont permis aux Frères musulmans de
placer leurs partisans au sein du Conseil
national des droits de l’homme, du Conseil
suprême de la presse, ou encore à la tête de
plusieurs gouvernorats. Beaucoup dénoncent
une mainmise islamiste sur les institutions
de l’Etat, une accusation systématiquement
rejetée par le nouveau régime.