Les
premières élections au suffrage universel
direct se tiennent ce mercredi 7 septembre
en Egypte, sous le contrôle de 13 000 juges.
Si ces derniers ont accepté de superviser
le scrutin, ils refusent énergiquement d’en
garantir la transparence.
Au
Conseil national des droits de l’homme, on
travaille d’arrache-pied jusqu’au dernier
jour pour enregistrer plaintes et excès lors
de la campagne et du vote.