Lundi, 13 janvier 2025

 Les articles de Dalia Chams

Le parrain du chant populaire égyptien, Ahmed Adawiya nous a quittés, le 29 décembre dernier, à l’âge de 79 ans. Retour sur le parcours mitigé de cet artiste qui a fait beaucoup parler de lui, depuis son émergence dans les années 1970.

Une exposition du photographe Roger Anis a été inaugurée à l’occasion du festival Ecrire la Méditerranée. Il y observe sans se lasser le rituel des gens au bord de la mer.

Le rapport complexe ville-port a été au centre des discussions qui se sont étendues sur trois jours, dans le cadre du festival annuel Ecrire la Méditerranée, organisé par l’Institut français d’Alexandrie.

L’Orchestre philharmonique royal a donné deux concerts au Grand Musée égyptien les 15 et 16 novembre dernier, accompagné des deux solistes Amira et Mariam Abouzahra. L’Hebdo s’est rendu à la première soirée.

L’Orchestre philharmonique royal a donné deux concerts au Grand Musée égyptien les 15 et 16 novembre dernier, accompagné des deux solistes Amira et Mariam Abouzahra. Al-Hebdo s’est rendu à la première soirée.

Notre mémoire individuelle a aussi une dimension collective, c’est ce qu’affirment une fois de plus deux longs métrages libanais, projetés lors du Festival international du film d’El-Gouna qui vient de prendre fin. Il s’agit de Cilama et Memory Box (les cahiers de Maya), reliant petite et grande histoire.

Le cinéaste palestino-néerlandais Hany Abu Assad a toujours su naviguer en eaux troubles, mais le contexte actuel rend sa mission plus ardue.

Certains films projetés durant la septième édition du Festival international du film d’El-Gouna mettent en scène des rêves qui varient selon les origines des personnages. Ceux qui appartiennent au sud de la planète sont pris dans l’étau des conflits, alors que les héros issus des pays situés plus au nord sont tourmentés par d’autres questions. Le festival se poursuit jusqu’au 1er novembre.

Un cinéma pour l’humanité, capable de panser des plaies collectives non cicatrisées, telle est la formule choisie par le Festival international du film d’Al-Gouna, aujourd’hui à sa septième édition. Du 24 octobre au 1er novembre, les films en programmation offrent un tour d’horizon de l’actualité.

Le Canal de Suez est l’une des plus grandes aventures géostratégiques, selon l’écrivain et journaliste français d’origine égyptienne Robert Solé, qui vient de publier, en mai dernier, Suez, Histoire d’un canal à la croisée des mondes. Lors d’une rencontre-débat à l’Institut Français de Mounira, il a exposé son oeuvre à l’ombre des enjeux actuels.

Le festival international du Film d’Al-Gouna se tient du 24 octobre au 1er novembre, dans un contexte régional électrique, mais les organisateurs sont prêts.

L’artiste-plasticienne Farida Darwish continue à raconter par la peinture les détails qui l’attirent dans la vie quotidienne, mais aussi dans des univers fantastiques comme le cirque ou les rites des fêtes locales très colorés.

Le journaliste et écrivain égyptien Mohamed Salmawy propose à travers son nouveau roman OEdipe fil Taëra (OEdipe à bord de l’avion) une réflexion sur le pouvoir, en faisant référence à la mythologie grecque.

Tantôt c’est Al-Sett, la Dame, la Diva (avec majuscule) que l’on met sur un piédestal.

Nous republions ici un article sur le musée Oum Kalsoum, annexé au Palais d’Al-Ménesterli à Manial. Une visite qui nous permet de plonger dans son univers.

Au cours de la sixième édition du Festival international du film d’El Gouna, les malheurs du Moyen-Orient étaient surtout racontés par des voix féminines, à travers des oeuvres mouvantes, en lien avec l’esprit du temps.

Filmer, raconter et produire sont de vrais défis pour les cinéastes palestiniens. Focus

Dix films palestiniens, parmi les productions les plus récentes, sont en programmation.

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