Vendredi, 06 décembre 2024

 Les articles de

Les romans historiques deviennent souvent un registre éternel de l’histoire des peuples.

L’iran sera le premier ordre du jour de Donald Trump au Moyen-Orient après son investiture le mois prochain.

La victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine a suscité de profondes discussions autour des futures politiques américaines au Proche-Orient, en particulier concernant la cause palestinienne.

Dans sa première déclaration après sa nomination par Donald Trump en tant que prochain secrétaire d’Etat, le sénateur Marco Rubio a repris les mêmes discours que ceux des extrémistes du gouvernement israélien d’extrême droite.

L’Office de secours et de travaux des Nations-Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a été, et continue d’être, une bouée de sauvetage pour des millions de réfugiés palestiniens depuis sa création le 8 décembre 1949.

C’est une première. Le dirigeant d’un Etat allié à l’Occident, le premier ministre d’Israël, Benyamin Netanyahu, s’est vu délivrer le 21 novembre un mandat d’arrêt par la Cour Pénale Internationale (CPI) pour des crimes de guerre et contre l’humanité commis contre la population palestinienne dans la bande de Gaza.

Nos priorités sont claires: parvenir à un cessez-le-feu à Gaza comme au Liban; libérer les otages, acheminer les aides humanitaires aux populations touchées par la guerre et éviter une escalade du conflit.

La mission de l’UNRWA ne se limite pas à la fourniture de biens de première nécessité comme la nourriture, le logement et les soins de santé. Elle répond également aux aspirations plus larges des réfugiés palestiniens, en leur fournissant une éducation, une formation professionnelle et des opportunités d’autonomisation économique.

Les répercussions des problématiques du Moyen-Orient et leur enchevêtrement avec les crises internes et externes dans la région illustrent les caractéristiques potentielles de la politique américaine sous Donald Trump. Ces éléments peuvent être analysés à travers trois axes principaux.

Une journaliste de la télévision canadienne m’a demandé : « Pourquoi les Arabes appréhendent-ils la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine, alors qu’il a annoncé qu’il mettrait fin à la guerre de Gaza avant même d’entrer à la Maison Blanche l’année prochaine ? ».

Le retour au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis est bien accueilli par les Etats pétroliers du Golfe. Mais cet optimisme n’est pas dénué d’un certain degré d’incertitude, voire d’inquiétude.

Le ministre égyptien des Affaires étrangères et de l’Emigration, Badr Abdelatty, a présenté une analyse globale et perspicace de la situation internationale et régionale actuelle lors de sa rencontre avec les grands écrivains d’Al-Ahram.

Quel changement apportera un nouveau mandat présidentiel de Donald Trump au conflit israélo-palestinien ?

Après l’attaque aérienne israélienne contre l’Iran le 26 octobre, on pourrait croire qu’Israël a définitivement établi la structure du système de sécurité régionale du Moyen-Orient en sa faveur.

Je ne suis pas d’accord avec ceux qui disent que la culture égyptienne est en déclin.

Alors que le Conseil de sécurité des Nations-Unies a exprimé le 30 octobre sa « grave préoccupation » face à l’adoption par le Parlement israélien d’un projet de loi interdisant l’UNRWA, la principale agence onusienne d’aide aux Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie occupée, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a averti que cette interdiction « serait une catastrophe dans ce qui est déjà un désastre », en allusion à la situation dans la bande de Gaza, dévastée par une féroce offensive militaire israélienne depuis plus d’un an.

L’orientalisme est une discipline scientifique apparue en Europe pour étudier les sociétés orientales.

Le président russe, Vladimir Poutine, a donné le ton à l’ouverture du Sommet des BRICS+, tenu du 22 au 24 octobre à Kazan en Russie, en soulignant qu’un « monde multipolaire est en marche ».

Bien qu’on puisse penser que l’assassinat de Yahya Sinwar, chef du bureau politique du Hamas, constitue une victoire pour Israël dans sa guerre de génocide à Gaza, la vérité est que cet assassinat représente une impasse dont Israël pourrait ne pas pouvoir assumer les répercussions.

Le président Abdel Fattah Al-Sissi a adopté le terme « équilibre stratégique » pour exprimer l’état actuel de la politique étrangère égyptienne.

1 2 3 4 5