La coalition rebelle Séléka a finalement décidé de participer au gouvernement d’union nationale, formé après les accords de paix qui ont mis fin, le mois dernier, à son offensive contre le pouvoir du président François Bozizé.
Le chef de l’opposition syrienne se dit prêt à dialoguer avec certains membres du régime de Bachar Al-Assad. Al-Khatib a par ailleurs rencontré des représentants de l’Iran et de la Russie, soulevant des espoirs sur de possibles avancées vers la paix.
Choisir la paix en temps de conflits. C’est la proposition du père Nader Michel dans son ouvrage Notre Vie entre la violence et la paix, écrit avec une grande sagesse au lendemain de la révolution égyptienne de 2011.
Les pourparlers de paix entre le gouvernement et le mouvement du M23 ont été suspendus. Les deux parties n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un possible cessez-le-feu.
Réélu, le président Barack Obama se retrouve face à une longue liste de défis : crise nucléaire iranienne, casse-tête afghan, violences en Birmanie, processus de paix paralysé et influence croissante de Pékin dans la région. Passage en revue.
Les violences confessionnelles entre les bouddhistes de l’ethnie rakhine et les Rohingyas musulmans se sont aggravées cette semaine, déclenchant une grave crise humanitaire parmi les musulmans. La communauté internationale s’est contentée de lancer des appels à la paix.
Pour mettre fin au conflit qui l’oppose au Front Moro islamique de libération (MILF) depuis 40 ans, le gouvernement a signé un accord préliminaire de paix avec les rebelles, en attendant la signature d’un accord final en 2016.
Longtemps tabou, le Traité de paix conclu avec Israël en 1979 est remis en question par plusieurs courants politiques. La présidence égyptienne nie toute intention de le modifier.