Les Occidentaux s’alarment de la soudaine montée en puissance de l'EI en Libye. Un accord politique serait, selon eux, l'unique rempart.
L'Onu a nommé un nouvel émissaire pour la Libye. Celui-ci aura la lourde tâche de parvenir à un nouvel accord interlibyen.
Les camps rivaux en Libye sont parvenus à un accord pour la formation d’un gouvernement d’union nationale chargé de diriger la transition politique. Un pas en avant certes, mais qui risque de se heurter à des obstacles.
La situation en Libye semble avancer avec une nouvelle session de pourparlers ce mercredi. L’Onu espère aboutir à un accord vers le 20 septembre, pour le mettre en oeuvre un mois plus tard.
La communauté internationale presse les parties libyennes à former un nouveau gouvernement d'union nationale, première étape en vue de mettre le pays sur la voie de la réconciliation.
Alors que les différentes parties libyennes ne parviennent toujours pas à trouver de terrain d'entente, la situation sur le terrain empire, notamment avec l'expansion de l'Etat islamique.
Des négociations directes entre les parties libyennes rivales se tiennent au Maroc. Elles portent sur une version amendée du document proposé par l'Onu.