La période de transition par laquelle passe la Libye s'inscrit dans le contexte favorable d’un règlement global. Toutefois des défis restent à relever. Explications.
Accompagné d’une importante délégation, le premier ministre, Moustapha Madbouli, était à Tripoli le 20 avril où il a signé plusieurs mémorandums d'entente. Objectif : soutenir la réconciliation et favoriser le développement dans ce pays. Explications.
La nouvelle autorité libyenne multiplie les rencontres avec les acteurs internationaux et régionaux. Objectif : mener à bien la transition et stabiliser définitivement la Libye.
Mohamed El Nokaly, ex-ambassadeur d’Egypte à Tripoli 2008-2012) et ex-Consul Général à Benghazi (2002-2006), revient sur les défis de la transition dans ce pays et le rôle incontournable de l’Egypte dans le règlement des conflits régionaux.
Unifier le pays et conduire la période de transition jusqu’à la tenue d’élections en décembre, telle est la mission du nouveau gouvernement libyen. Une mission difficile que l’Egypte soutient, en continuant à jouer un rôle actif pour favoriser le processus politique et le développement de la Libye.
Le premier ministre libyen intérimaire a transmis dans les délais la composition de son gouvernement au parlement, qui doit l'approuver au plus tard le 19 mars. Un premier pas important pour la poursuite de la transition.
Le président Sissi a reçu le nouveau premier ministre libyen intérimaire et lui a réaffirmé le soutien de l'Egypte à la Libye. Une rencontre qui s’inscrit dans le cadre des efforts égyptiens continus visant à stabiliser son voisin.
Le nouveau premier ministre intérimaire libyen et les trois membres du Conseil présidentiel, choisis cette semaine à Genève, doivent s’atteler à préparer les élections de décembre prochain, à réunifier les institutions de l’Etat et à assurer la sécurité. Une lourde tâche.
Trois pays de la région ont plongé dans le chaos après 2011 : la Syrie, la Libye et le Yémen. Depuis, les tentatives internationales d’instaurer la stabilité ne s’y sont jamais arrêtées. Avec l’espoir de les sortir enfin de l’anarchie.
Les pourparlers interlibyens tenus à Hurghada se sont soldés par un accord sur l'organisation d'un référendum sur la Constitution avant les élections prévues décembre prochain.
Après une semaine de discussions près de Tunis, les délégués libyens ne sont pas parvenus à un accord sur les noms de leurs futurs dirigeants, signe de la difficulté à sortir le pays d’une décennie de conflits. Un accord a été toutefois conclu sur des élections nationales en décembre 2021.
Le président Sissi a effectué, cette semaine, une visite de trois jours à la Grèce. Au menu des discussions : la sécurité de la Méditerranée orientale, la coopération énergétique, la lutte contre le terrorisme et la situation en Libye.
Des représentants libyens de différents bords ont débuté, lundi 9 novembre, des pourparlers directs en Tunisie, sous l'égide de l'Onu. Un fait qui relance l'espoir d'un accord sur un nouveau gouvernement unifié et l'organisation d'élections. La tâche s'annonce pourtant difficile.