Les anciens ennemis sont parvenus à un accord de principe en vue de normaliser leurs relations, paraphé par des hommes qui, il y a 14 ans, se faisaient encore la guerre, tournant ainsi la dernière page des conflits de l’ancienne Yougoslavie.

L’Egypte participera du 15 au 21 avril à la 34e édition des Championnats d’Afrique au Mozambique. Après deux années d’échec dû à des conflits au sein de la Fédération, l’entraîneur place désormais ses espoirs dans les plus jeunes.

La guerre civile s’éternise sans qu’aucune solution voie le jour. Le conflit, en partie religieux, en partie politique, dépasse largement les frontières du pays au bord de l’implosion, tandis que le nombre de victimes ne cesse de s’accroître. Eclairages.

Le régime se dit être disposé à négocier avec l’opposition qui, elle-même, multiplie les initiatives pour sensibiliser la communauté internationale au conflit qui s’apprête à entrer dans sa troisième année.

Sous forte pression de la communauté internationale, les délégations de ces deux pays se sont rencontrées pour régler leurs divergences, mais sans grand succès.

Des villageois armés se sont approprié des terrains dépendants du site archéologique de Saqqara. Ils bloquent les accès à la nécropole et ont lancé des travaux de construction. Le ministère souhaite régler le problème rapidement en leur offrant d’autres terrains.

En attendant l’aide internationale accrue, l’armée française poursuit son avancée après avoir consolidé ses positions dans ce pays.

Certains éditoriaux se penchent sur les risques de conflits communautaires et ethniques dans la région. D’autres sont revenus sur la visite d’un cheikh saoudien venu prêcher la bonne parole en Egypte.

Choisir la paix en temps de conflits. C’est la proposition du père Nader Michel dans son ouvrage Notre Vie entre la violence et la paix, écrit avec une grande sagesse au lendemain de la révolution égyptienne de 2011.

Pour la première fois depuis les accords de septembre 2012, les présidents des deux pays se sont rencontrés à Addis-Abéba, pour tenter de trouver un règlement à leur conflit. Une mission qui s’annonce difficile.

Le président Bachar Al-Assad a proposé un plan en trois étapes pour mettre fin au conflit qui secoue le pays. Mais l’opposition dénonce une tentative d’Assad pour « se maintenir au pouvoir » et réclame son départ comme condition préalable à tout règlement.

Le gouvernement a entamé un dialogue avec le chef de la rébellion kurde condamné à la prison à vie, Abdullah Ocalan. L’objectif est de mettre fin au conflit armé qui empoisonne la vie politique du pays depuis 30 ans. Ces efforts sont avant tout un signe d’ouverture.

L’émissaire international, Lakhdar Brahimi, est en visite dans le pays dévasté par 21 mois de violences. Alors que le conflit s’éthnicise, il vient tenter encore une fois de trouver une issue politique.

Tandis que des informations circulent sur une éventuelle démission du gouverneur, Farouq Al-Oqda, l’indépendance de cette institution par rapport à l’exécutif est remise en question.