Le conseil présidentiel libyen chargé de désigner un gouvernement d'union nationale en a retardé l'annonce malgré le délai cité dans l'accord de paix, signé le mois dernier sous l'égide de l'Onu.
Le gouvernement d'union nationale n'est toujours pas en place, et les Occidentaux s'inquiètent des attaques du groupe Etat Islamique (EI) sur le sol libyen.
En dépit de l'accord de paix signé le mois dernier, la formation d'un gouvernement d'union nationale reste problématique en Libye. L'émissaire de l'Onu, Martin Kobler, déploie des efforts pour relancer les pourparlers.
Les camps rivaux en Libye sont parvenus à un accord pour la formation d’un gouvernement d’union nationale chargé de diriger la transition politique. Un pas en avant certes, mais qui risque de se heurter à des obstacles.
La communauté internationale presse les parties libyennes à former un nouveau gouvernement d'union nationale, première étape en vue de mettre le pays sur la voie de la réconciliation.
Les négociateurs libyens ont achevé leur 3e round de discussions sur une note d’optimisme. Rien n’est pourtant encore garanti pour la formation d’un gouvernement d’union nationale.
Le gouvernement d'union nationale palestinien a débarqué à Gaza pour la première fois depuis sa formation en juin dernier. Une avancée destinée à rassurer les donateurs, mais qui n’augure pas forcément d’une réconciliation politique durable.
Après trois mois d'impasse, les deux candidats à la présidentielle afghane, Abdullah Abdullah et Ashraf Ghani, ont signé un accord de gouvernement d'union nationale qui ferait de M. Ghani le nouveau président du pays.
Le ton monte à nouveau entre le Hamas et l’Autorité palestinienne, mettant en péril la survie du gouvernement d’union nationale.
Ossama Chaath, politologue, estime qu’en faisant la guerre contre Gaza, Israël cherchait à tuer dans l’oeuf le gouvernement palestinien d’union nationale.
En conflit depuis 2007, le Fatah et le Hamas ont conclu cette semaine un accord de réconciliation. Celui-ci prévoit notamment la formation d’un gouvernement d’union nationale et la tenue d’élections présidentielles et législatives.
Président de l’Union nationale des étudiants et membre du comité des 50, Mohamad Badrane soutient la fondation d'une nouvelle Egypte démocratique.
La coalition rebelle Séléka a finalement décidé de participer au gouvernement d’union nationale, formé après les accords de paix qui ont mis fin, le mois dernier, à son offensive contre le pouvoir du président François Bozizé.
Avec l’accord de sortie de crise signé cette semaine à Libreville, l’opposition centrafricaine a désigné à l’unanimité l’opposant et avocat Nicolas Tiangaye comme premier ministre du prochain gouvernement d’union nationale.