Le découpage des circonscriptions électorales a toujours été un enjeu politique de taille pour les régimes successifs. Aperçu.
Le prochain Parlement devrait accueillir les députés des régions de Nubie et de Halayeb et Chalatine, à l'extrême sud du pays, grâce à la création de deux nouvelles circonscriptions électorales. Ce qui n'est pas sans faire débat.
Initialement prévues en juillet dernier, les législatives se tiendront finalement en mars 2015, selon les déclarations de la présidence. La nouvelle loi sur le découpage électoral soulève des critiques liées à la diversité politique. Elle doit être adoptée sous peu.
Alors que la définition des circonscriptions se met en place, des politiciens rejetant la loi électorale pour les législatives dans sa forme actuelle se disent pessimistes sur l'avenir des partis politiques.
La condamnation unanime de l'attentat de Cheikh Zowayed par les partis politiques laisse toutefois apparaître des divergences sur les moyens de lutter contre le terrorisme.
A l'approche des élections législatives, plusieurs partis politiques exigent un amendement de la loi sur les élections, qu'ils jugent injuste.
Amr Hachem Rabie, directeur adjoint du Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, estime que le nouveau Parlement ouvrira la porte au retour des anciennes figures de Moubarak.
Après la révolution du 25 janvier, beaucoup de jeunes ont adhéré à des partis politiques, cherchant à s'impliquer dans la vie du pays. Ils n'ont pas tardé à déchanter et à prendre leurs distances. Aujourd'hui, ils évitent de parler de politique.
Amr Hachem Rabie, spécialiste des partis politiques, estime que la prochaine présidentielle ressemblera plutôt à un référendum.
Ahmad Al-Moslemani, conseiller médiatique du président de la République Adly Mansour, a été récemment chargé d’engager un dialogue avec les forces et partis politiques autour des modalités de la transition. Interview.
Ces groupes, mouvements, et parfois partis politiques, mènent une lutte à caractère nationaliste, séparatiste ou religieux et sont considérés comme des organisations terroristes, le plus souvent par leur propre pays. Passage en revue.
Un accord a enfin été signé entre le gouvernement malien et les groupes touareg. Une série de consultations avec les partis politiques a eu lieu dans le but de préparer l’élection présidentielle prévue le 28 juillet.
L’opposition turque, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, des laïcs kémalistes aux islamistes, s’est fortement mobilisée pour rejoindre le mouvement de contestation contre le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan. On dénombre 6 principaux partis.
Sortant d'un silence trentenaire, Al-Azhar a invité tous les partis politiques à prendre leurs responsabilités et à signer un traité de non-violence. Saluée dans son ensemble, l'initiative n'a cependant eu aucun impact dans la rue.