La Conférence de Riyad, qui a réuni des représentants de l'opposition syrienne, est mise à mal par la contestation des opposants laïques et kurdes, réunis à Malikiyeh en Syrie.
Malgré de récentes déclarations d’Erdogan, la Turquie dit toujours exiger le départ de Bachar Al-Assad. Le rôle d’Ankara a toujours été ambigu, entre soutien aux extrémistes en Syrie et attaques contres les Kurdes.
Avec l'aide des raids de la coalition internationale, les forces kurdes réalisent des avancées sur le terrain, notamment en Syrie. Ce qui remet sur le tapis la question des velléités kurdes dans la région.
Un jeune homme qui paye de sa virilité ses excès de virilité, l’hôpital des maladies cardiaques sort de l'indifférence et les Kurdes prêts à en découdre avec la réalité. Meilleurs extraits.
Malgré l'alliance entre Erbil et Bagdad qui font front uni contre l'EI, les tensions entre le Kurdistan et le gouvernement central en Iraq restent profondes.
Le conflit syrien entre dans sa cinquième année. Passage en revue des forces en présence.
Les exécutions de deux otages japonais viennent rappeler que la reprise de la ville de Kobané par les forces kurdes la semaine dernière est loin de sonner le glas de la guerre menée contre Daech.
Les bases turques seront utilisées par la coalition dans les frappes contre l'EI en Syrie. L'objectif est de sauver les régions kurdes, mais aussi d'affaiblir le régime d'Al-Assad.
L’offensive sunnite a relancé la quête d’indépendance du Kurdistan iraqien. Elle a aussi et surtout permis aux Kurdes de reprendre leur politique de marchandage avec Bagdad.
L’armée iraqienne s’est lancée dans une importante contre-offensive pour récupérer Tikrit. Elle risque de se heurter au refus des Kurdes de livrer cette ville stratégique.
Les législatives au Kurdistan iraqien interviennent dans un contexte très particulier aussi bien au sein de l'Iraq que dans la région. Les Kurdes tentent d'en tirer profit.
L’instabilité et les perspectives de « balkanisation » du pays se renforcent suite aux récentes manifestations. Les divisions entre chiites, sunnites et Kurdes restent vives, un an après le retrait américain