Le président Abdel-Fattah Al-Sissi était cette semaine en Arabie saoudite et en Russie. Investissements et sécurité ont dominé les discussions.
Le dernier rapport onusien intitulé Les Tendances mondiales de l’investissement explique la baisse des investissements directs étrangers en Egypte et en Afrique du Nord en 2013 par le manque de stabilité. Toutefois, sa vision d’avenir reste optimiste.
Le magnat égyptien des télécoms, Naguib Sawirès, tente de revenir sur le marché égyptien avec une offre d’achat de 20% d’EFG-Hermes, première banque d’investissement de la région. Détails d’une transaction.
Les ministères de Transport, des Télécommunications et de l’Investissement se préparent à lancer en Bourse les parts de sociétés nouvellement créées pour conduire des travaux d’infrastructures.
Immobilier, industrie, hôtellerie de luxe, sport et télé, le nombre d’investissements qatari, notamment en Europe et aux Etats-Unis, ne cesse de croître. Une stratégie qui permet à Doha de se protéger.
Dans le cadre d'une tournée européenne, une délégation d'hommes d'affaires égyptiens, dirigée par le ministre du Commerce et de l'Industrie, doit se rendre le 2 février en France. Objectif : encourager l'investissement au point mort depuis 3 ans.
La Côte d'Ivoire vise à attirer les investisseurs égyptiens. Elle a présenté au Caire les opportunités offertes, avant un forum sur l'investissement qui se tiendra le 30 janvier 2014 à Abidjan.
Plus de 1 500 investisseurs des pays du Golfe étaient au Caire pour assister à un forum économique. De nouveaux partenariats pourraient voir le jour.
Pour Hassan Fahmi, président de l’Autorité de l’investissement, la détérioration du classement de l’Egypte dans le rapport Doing Business 2014 est biaisée. En dépit de la réputation des experts de la Banque mondiale, il affirme qu’ils n’ont pas tenu compte de la réalité des faits.
Le Qatar est un exemple unique de développement diplomatique. Pays sans autre ressource que le gaz et le pétrole, il est devenu un acteur important de la région. Un rôle qu'il doit presque entièrement à ses investissements géants en Europe.
3 Questions à Alia Mamdouh, économiste auprès de la banque d’investissement CI Capital.
Hicham Zaazoue, qui vient d'être reconduit pour la troisième fois à la tête du ministère du Tourisme, poursuit avec la même détermination son travail entamé depuis des mois. Les priorités restent les mêmes : retour de la sécurité, du flux et des investissements touristiques.
Inciter l'investissement privé tout en augmentant les taxes et en réduisant les subventions à l'énergie ? Relancer la croissance en gonflant les dépenses publiques sur la santé, l'éducation et les infrastructures sans creuser davantage le déficit budgétaire ? Les priorités du gouvernement intérimaire sont paradoxales.
Achraf Al-Araby, nouveau ministre de la Planification, était déjà à ce poste avant d’être démis de ses fonctions par Mohamad Morsi il y a deux mois. Il veut préparer le terrain aux investissements privés et favoriser l’éducation à travers une réorganisation des subventions.
Le nouveau vice-premier ministre, Ziad Bahaeddine, est un homme de centre droit qui a fait sa carrière dans les milieux bancaires et ceux de l’investissement. Portrait de cet économiste appelé à jouer un rôle central au sein du gouvernement de transition.
Selon une étude récente de la CNUCED, les investissements étrangers en Egypte restent très inférieurs à leur niveau d'avant 2011. Dans la région, le pays vient même d'être doublé par le Maroc.
Le gouvernement vient d'amender la loi sur l'investissement pour permettre des règlements à l'amiable avec les hommes d’affaires de l'ère Moubarak. L'amendement attend l'aval du Conseil consultatif.
La Banque Centrale d'Egypte (BCE) vient de limiter la participation des banques publiques et islamiques aux fonds d'investissement à 2 % du capital bancaire. Une mesure qui vise à rediriger les capitaux vers les formes à venir de finance islamique.