Un fief du Hezbollah à Beyrouth a été la cible d'une attaque revendiquée par l'EI. De quoi rappeler que le Liban reste profondément divisé sur le conflit en Syrie.
Le carnage de Paris s’inscrit dans une longue série d’attaques revendiquées par la mouvance islamiste.
Les attentats les plus spectaculaires ayant frappé Paris depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ont été revendiqués par Daech. Ils suscitent de nombreuses interrogations sur la dangereuse extension de ce groupe et sur l'efficacité de la lutte contre lui.
Le groupe Etat islamique a décapité le grand archéologue syrien Khaled Al-Assaad, qui dirigea pendant 50 ans le service des Antiquités de Palmyre. Les autorités archéologiques de Damas et l’Unesco ont salué le courage de cet homme de 82 ans.
Alors que les différentes parties libyennes ne parviennent toujours pas à trouver de terrain d'entente, la situation sur le terrain empire, notamment avec l'expansion de l'Etat islamique.
Parallèlement à la crise gouvernementale, la Turquie passe par un autre défi de poids : une guerre sur deux fronts, l’une contre le PKK en Turquie et en Iraq, et l’autre contre le groupe de l’Etat Islamique (EI) en Syrie.
L'enlèvement d'un citoyen croate dans une banlieue du Caire cherche à embarrasser les autorités, et à freiner le développement économique, selon les analystes. L'opération viserait aussi à couvrir les pertes que les terroristes subissent dans le Sinaï.
La Turquie a approuvé l'utilisation de ses bases aériennes par les avions américains et ceux de la coalition internationale, dans le cadre de la lutte contre l'Etat islamique en Syrie et en Iraq.
Ali Bakr, spécialiste des mouvements islamistes, sur les événements récents en Tunisie et au Koweït.