Le gouvernement annonce un taux de croissance record depuis 2007, notamment grâce à la reprise de l’industrie. Mais ce chiffre de 6,8 % est loin de faire l'unanimité.
Richard Banks, directeur général de la société Euromoney Conferences, s’exprime sur la croissance économique égyptienne et le rôle du secteur privé.
La Banque mondiale met en garde contre le manque de création d’emplois en Egypte et les pays de la région MENA, et révise à la baisse ses prévisions de croissance.
Le gouvernement égyptien, en coordination avec le secteur privé, envisage la vente des parts de sociétés publiques et privées en Bourse. Les liquidités dégagées permettraient de raviver l’activité économique. Le plan ouvre cependant le débat sur le retour de privatisation. Dossier page 9 et 10.
Le ministère des Finances prévoit pour 2013-2014 une croissance de l'ordre de 3,5 %. Des prévisions considérées comme exagérées par la Banque mondiale et certains économistes. Enquête dans trois secteurs-clés.
Malgré un taux de croissance de 3 %, les réformes économiques piétinent en Tunisie. Les objectifs sociaux fixés par la révolution se heurtent au manque de vision et de volonté des politiciens.
Afrique : la croissance attendue
Le taux de croissance dans les pays de la région MENA baissera de moitié fin 2013. C'est ce que vient annoncer le dernier rapport du FMI sur les perspectives économiques mondiales.
Le 37e Festival des films du monde de Montréal a clôturé ses travaux le 2 septembre. Les oeuvres de cette édition posent un regard critique sur la post-croissance.
Le gouvernement est déterminé à poursuivre son plan pour la relance de l’économie, bien que des experts estiment que la poursuite des violences et l’instauration de l’état d’urgence auront un effet néfaste sur la croissance.
Inciter l'investissement privé tout en augmentant les taxes et en réduisant les subventions à l'énergie ? Relancer la croissance en gonflant les dépenses publiques sur la santé, l'éducation et les infrastructures sans creuser davantage le déficit budgétaire ? Les priorités du gouvernement intérimaire sont paradoxales.
Mostafa Nabli, ancien directeur de la région Mena à la Banque mondiale et gouverneur de la Banque centrale de Tunisie après la révolution (2011-2012), met en garde contre tout déraillement de la période de transition dans les pays arabes.