Le gouvernement a approuvé une loi impliquant le secteur privé dans la distribution de l'électricité.
Malgré de vives contestations, notamment en raison de l'extension de Boko Haram, le président nigérian, Goodluck Jonathan, a annoncé sa candidature aux présidentielles prévues
Depuis fin mai dernier, le Liban est sans chef d'Etat. L'Assemblée nationale a tenté et à plusieurs reprises, mais sans succès faute de quorum ou de majorité requise, de choisir un nouveau président. Quatre candidats sont pourtant en lice.
Après les législatives, c’est désormais la course à la présidentielle du 23 novembre prochain. Entretien avec l’un des candidats, Kamel Morjane, président de l’Initiative nationale destourienne.
Les islamistes, outre ceux du parti Ennahda, restent encore en marge de la politique, en dépit de la présence d’une première candidate portant le niqab
Au terme des législatives, la course vers le palais présidentiel sera menée le 23 novembre par 27 candidats, dont une femme et de nombreux caciques du régime de Ben Ali.
Après trois mois d'impasse, les deux candidats à la présidentielle afghane, Abdullah Abdullah et Ashraf Ghani, ont signé un accord de gouvernement d'union nationale qui ferait de M. Ghani le nouveau président du pays.
Lors de sa campagne présidentielle, Al-Sissi s’est abstenu de tout engagement pour les 100 premiers jours de son mandat. Aujourd’hui un premier bilan permet toutefois de dévoiler la tendance générale de sa politique.
Les deux principaux partis d’opposition turcs ont désigné un candidat commun pour l’élection présidentielle prévue le 10 août. Leur choix, Ekmeleddin Ihsanoglu, ne fait pas l’unanimité auprès des bases populaires des laïcs.
Le premier ministre islamo-conservateur, Recep Tayyip Erdogan, candidat à l’élection présidentielle d’août, a lancé cette semaine sa campagne en promettant à ses partisans qu’il serait un chef d’Etat doté d’un pouvoir fort capable de faire prendre un « nouveau départ » à la Turquie.
Les partis et mouvements politiques, qui avaient soutenu le candidat à la présidentielle Hamdine Sabahi, entendent fonder une alliance en vue des élections législatives.
La campagne électorale pour la présidentielle mauritanienne du 21 juin a débuté cette semaine. Cinq candidats sont en lice pour ce scrutin boycotté par plusieurs partis de l'opposition, et dont le grand favori est le président sortant Mahomad Ould Abdel-Aziz.
Selon les résultats définitifs des élections, 1,3 million d’électeurs ont voté blanc ou nul. Une attitude qui reflète leur volonté de se démarquer des deux candidats.
Quels rapports domineront les relations entre le futur président et les Frères musulmans ? La volonté affichée par les candidats à la présidentielle de les éradiquer ranime un débat sur l’enjeu et l'impact d'une telle politique.