L'Egypte a fustigé le rejet, par l'Ethiopie, d'une résolution de la Ligue arabe soutenant ses droits historiques dans les eaux du Nil. Le Caire appelle Addis-Abeba à revenir sur le bon chemin.
L’Egypte a signé seule l’accord tripartite sur le barrage après que l’Ethiopie eut boycotté, à la dernière minute, la réunion convoquée à Washington par les Etats-Unis les 27 et 28 février pour la conclusion d’un accord final. Les interrogations pèsent désormais sur la suite des négociations.
L'Egypte, l'Ethiopie et le Soudan sont parvenus à Washington à s'entendre de manière préliminaire sur les règles de remplissage et de fonctionnement du barrage de la Renaissance. Un accord final devrait être signé le 12 février.
Les négociations en cours sur le barrage de la Renaissance entre l'Egypte, le Soudan et l'Ethiopie semblent piétiner. Le Caire dénonce une « intransigeance éthiopienne ».
La nouvelle année s’annonce décisive pour le dossier litigieux du barrage de la Renaissance. Les négociations avec l’Ethiopie et le Soudan, sous médiation américaine, progressent mais doivent encore surmonter quelques obstacles.
Tenues sous les auspices des Etats-Unis et de la Banque mondiale, les négociations tripartites (Egypte, Ethiopie, Soudan) sur le barrage de la Renaissance avancent. Les observateurs sont optimistes.
3 questions à Abbas Cheraki, expert hydrique au Centre des recherches africaines de l’Université du Caire.
Le Centre égyptien des études stratégiques (ECSS) a publié en arabe et en anglais un livret intitulé Le Barrage de la Renaissance, menaces, mises en garde et solutions possibles, destiné à clarifier la situation auprès de l’opinion publique internationale.
Amani El-Taweel, cheffe du département des études africaines au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, revient sur la médiation américaine dans la crise du barrage de la Renaissance.
Réunis à Washington le 6 novembre 2019, l’Egypte, l’Ethiopie et le Soudan se sont engagés, sous le parrainage américain et en présence de la Banque mondiale, à régler, d’ici deux mois, les différends sur le barrage de la Renaissance.
L’Egypte et l’Ethiopie ont convenu de reprendre les négociations techniques sur le barrage de la Renaissance.
Le gouvernement a présenté cette semaine devant le parlement le bilan des négociations avec l’Ethiopie et le Soudan sur le barrage de la Renaissance.
Le projet de construction du grand barrage de la Renaissance a donné lieu à des différends entre l’Ethiopie, l’Egypte et le Soudan. Retour sur les dates-clés.
Confrontée au barrage de la Renaissance, à la croissance démographique et à une consommation accrue de l’eau, l’Egypte a adopté un plan ambitieux pour prévenir une éventuelle pénurie.
Amani Al-Taweel, cheffe du département des études africaines au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, revient sur les négociations de Khartoum relatives aux modalités de remplissage du barrage de la Renaissance. Entretien.
Face à l’échec des négociations sur le barrage de la Renaissance, l’Egypte a exprimé sa détermination à défendre ses droits dans les eaux du Nil. Le Caire s’oriente désormais vers une internationalisation du contentieux.
Les négociations des 15 et 16 septembre au Caire entre les ministres de l’Irrigation d’Egypte, d’Ethiopie et du Soudan n’ont donné lieu à aucun consensus sur le barrage de la Renaissance. Une nouvelle réunion est prévue fin septembre à Khartoum.