Le conflit au Haut-Karabakh se poursuit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Les deux parties s’accusent mutuellement d’avoir violé la trêve humanitaire censée entrer en vigueur cette semaine.
Un an après le déclenchement d’un soulèvement populaire inédit qui avait conduit Saad Hariri à la démission, ce dernier paraît comme la dernière bouée de sauvetage à même de sortir le Liban de la multitude de crises que le pays du Cèdre traverse. Un retour qui divise pourtant la classe politique.
Maladie bénigne et de courte durée pour la grande majorité, le Covid-19 entraînerait des séquelles débilitantes chez nombre de patients. Explications.
L’ancien premier ministre libanais, Saad Al-Hariri, va sans doute revenir aux commandes à la tête du gouvernement. Il aura, s’il est nommé, la lourde tâche de sortir le pays du Cèdre de la pire crise de son histoire.
Une médiation russe a permis de parvenir à une fragile trêve entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan au Haut-Karabakh. La situation reste cependant très tendue, avec la menace de voir le conflit s’étendre et devenir une guerre régionale.
La solution politique tente de se frayer un chemin en Libye avec la multiplication des initiatives et des rencontres. L’objectif est d’obtenir un consensus autour d'une solution à tous les niveaux.
Alors que les groupes armés pro-Iran multiplient les attaques contre des intérêts américains, Washington menace de quitter l’Iraq, embarrassant le premier ministre iraqien.
Le président français est passé à l'offensive contre l'islam radical avec le renforcement des contrôles à tous les niveaux, un dossier devenu l'angle d'attaque favori de la droite et l'extrême droite à 20 mois de la présidentielle.
Plus d’une semaine après leur déclenchement et malgré les appels au calme, les combats s’intensifient entre Arméniens et Azerbaïdjanais dans le Haut-Karabakh, un territoire séparatiste azerbaïdjanais, avec la crainte d’une internationalisation du conflit.
Après des années de discorde, les Palestiniens ont décidé de mettre fin à leurs divisions. L’objectif est d’unifier les rangs pour se focaliser sur la question palestinienne.
Le Liban se trouve à nouveau dans l’impasse après que le premier ministre désigné, Moustapha Adib, a jeté l’éponge, faute de consensus pour former un gouvernement. Paris a donné aux parties libanaises un nouveau délai de quatre à six semaines. Mission difficile.
Le Liban attend toujours la formation d’un nouveau gouvernement après l’expiration du délai initialement annoncé. Les discussions butent sur l’attribution du portefeuille des Finances, que les chiites refusent de céder.
Téhéran, alors que les puissances européennes signataires de l’accord de 2015 estiment que la procédure initiée par les Etats-Unis n’aura pas d’effet.
L’Agence européenne du médicament a emboîté le pas à l’OMS en recommandant à son tour la dexaméthasone, un médicament de la famille des corticoïdes, pour le traitement des cas sévères de coronavirus.
Le navire de recherche gazière turc a quitté les eaux contestées en Méditerranée orientale. Un geste d’apaisement turc qui ne signifie pas pour autant que la crise soit désamorcée.
Tandis que la course s’accélère dans le monde pour trouver un vaccin au coronavirus, l’Egypte a lancé les essais cliniques de deux vaccins chinois. 6 000 personnes devraient y prendre part.
La liste définitive des candidats à la présidentielle du 31 octobre en Côte d’Ivoire doit être annoncée la semaine prochaine. Le Conseil constitutionnel doit trancher sur la candidature des 44 postulants, dont le président Alassane Ouattara, dont la candidature à un troisième mandat fait débat.
La concurrence fait toujours rage entre les firmes pharmaceutiques pour trouver un vaccin au coronavirus. Une vaccination généralisée n’est cependant pas prévue avant la mi-2021, affirme l'OMS.
Deux semaines après le coup d’Etat qui a renversé le président malien, la junte a nommé son chef comme président. La Cédéao réclame le lancement immédiat d'une « transition civile » et des élections d’ici 12 mois en échange d’une levée progressive des sanctions.
Avec des avertissements d’une part, des appels au dialogue de l’autre et surtout l’obstination et les provocations turques, la situation reste extrêmement tendue en Méditerranée orientale.