Ces dernières années, les chaînes satellites dédiées aux arts culinaires enregistrent de fortes audiences, et les sites Internet comme les réseaux sociaux n'échappent pas à la tendance. Les conseils s'adaptent aux divers styles de vie, mais ces émissions apparaissent aussi comme une échappatoire à la difficile situation du pays.
Les mélomanes marocains n’en reviennent plus. Les arts révolutionnaires se sont enfin donné rendez-vous dans ce royaume du monde. En effet, grâce au salon Visa For Music, Massar Egbari, Mashrou’a Leila et tant d’autres ont littéralement gâté leur public à Rabat.
Peindre les escaliers des ponts et passerelles de la capitale: la nouvelle initiative des étudiants aux beaux-arts, Coloring The Grey City, ne passe pas inaperçue. Pourtant, certains estiment qu’elle contribue au chaos ambiant.
Diplômé de la faculté des arts appliqués et membre du Conseil national des handicapés, Tamer est sourd-muet. Il défend les droits de cette tranche de la population
Les sites Internet regorgent d’articles et d’études sur l’image des coptes dans le cinéma égyptien. Les bibliothèques de l’Académie des arts et les facultés de mass communication sont truffées de maîtrises et de doctorats sur ce thème.
La cérémonie d'attribution des prix de l'Etat pour les lettres, les arts et les sciences humaines a réservé plus d'une surprise. Cette année, les critères semblent peu objectifs.
Autodidacte mais pétri de talents. Fâcheux mais diplomate. Amoureux de la mer mais sédentaire. Il s'agit ici de l'artiste-peintre marocain Bouchaib Habbouli. Sa dernière exposition à la Villa des Arts de Rabat témoigne de tout cela.
L’attaque de la police contre le festival Al-Fan Midan à Alexandrie, le 5 avril, suscite une vague de colère dans les milieux culturels. Une mesure qui confirme, au-delà de la politique, que les arts et la liberté d’expression sont menacés.
L’Association Francophone Cairote des Arts (AFCA) fête son 10e anniversaire. Son directeur et fondateur Mohamed Al-Ghawy s’exprime sur son rôle et son avenir.
Tout au long du mois de janvier, la Villa des arts de Casablanca mettait à l'honneur les lectures théâtrales. Avec, en chef d'orchestre, Hassan El Jaï : comédien, metteur en scène et professeur de théâtre.
La cinquième édition du festival 2 be continued (à suivre) présente en ce moment de nouveaux créateurs dans les arts de la performance. Tous dénoncent à leur manière l’état actuel de la société.
Dans le cadre des « soirées du patrimoine », la Villa des Arts de Rabat a récemment organisé une soirée sur la musique Aïta avec le chanteur Cheikh Jamal Zerhouni et son ensemble populaire. Un événement qui a attiré plusieurs centaines de mélomanes, avides de styles musicaux ancestraux.