Pour la première fois, les groupes armés au Nord du Mali affichent un front commun. Ils cherchent à davantage peser sur les négociations en cours avec le pourvoir central de Bamako. Mais des rivalités persistent.
Face à la menace djihadiste et au trafic d'armes florissant, l'Egypte multiplie les initiatives pour éviter les répercussions de la crise libyenne. Les ministres des Affaires étrangères des pays voisins de la Libye étaient cette semaine au Caire.
La campagne pour la présidentielle est désormais lancée. Deux sérieux candidats sont en lice : le Nassérien Hamdine Sabahi, déjà candidat en 2012, et l’ex-ministre de la Défense, Abdel-Fattah Al-Sissi. Chaque camp fourbit ses armes.
Au-delà de la carte idyllique d’Assouan, les derniers accrochages entre tribus ont révélé un autre visage de la ville et de la région, prises au piège du manque de sécurité, de la prolifération d’armes et des frictions diverses.
Khaled Al-Torgoman, conseiller du président du Conseil national libyen, estime que les milices et groupes armés sont aujourd’hui le problème majeur du pays. Il plaide aussi pour une extradition des anciens responsables sous Kadhafi, réfugiés notamment en Egypte.
Par les armes, l'argent ou les médias, les pays du Golfe s'imposent comme des acteurs de poids dans la période post-Kadhafi
Deux problématiques demeurent quant à la question de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie : leur destruction et surtout les sanctions devant être infligées à la partie qui en a fait usage, toujours non identifiée.
L’ancien vice-président syrien, aujourd’hui dissident, Abdelhalim Khaddam, prévoit l’échec de la conférence Genève-2 et s’oppose à toute solution qui maintienne le régime de Bachar Al-Assad en place.
Les inspecteurs onusiens sont arrivés pour enquêter sur l'usage des armes chimiques en Syrie, dont les parties en conflit se rejettent l'utilisation.
Tandis que la Russie bloquait un projet de déclaration au Conseil de sécurité demandant un accès humanitaire à la ville de Homs, assiégée par l'armée syrienne, l'opposition revendiquait des armes pour affronter les forces du régime de Bachar Al-Assad.
« Douteuses » : les affirmations de Washington sur l’utilisation d’armes chimiques restent peu crédibles. Elles apparaissent comme un alibi aux livraisons d’armes aux rebelles.
Armes nucléaires, F-16, brouilleurs GPS ou drones Mohajer-B, les armées israélienne, turque et iranienne rivalisent en moyens financiers et nouvelles technologies pour rester les plus puissantes de la région. Le point sur les armements.
Cédant aux pressions de certaines milices, le Congrès général national a adopté un projet de loi visant l’exclusion des anciens collaborateurs de Kadhafi. La police est incapable de faire régner l’ordre face à des groupes lourdement armés.
Washington a affirmé que le régime syrien a probablement utilisé des armes chimiques, avant toutefois de mettre en garde contre toute « décision hâtive ». Pourquoi de telles déclarations ? Eléments de réponse.
Midane Al-Gamie, quartier des bijoutiers. En apparence, rien n’a changé depuis la révolution. Sauf qu’aujourd’hui, ce sont les vigiles privés des marchands d’or qui rassurent les policiers et non l’inverse
Midane Al-Gamie, quartier des bijoutiers. En apparence, rien n’a changé depuis la révolution. Sauf qu’aujourd’hui ce sont les vigiles privés des marchands d’or qui rassurent les policiers et non l’inverse.