A l’approche de la date fatidique du 12 mai, à laquelle Washington doit annoncer sa décision finale sur l’accord nucléaire iranien, les Européens tentent une dernière manoeuvre pour éviter le pire : préserver les acquis actuels de l’accord de 2015 tout en y ajoutant d’autres éléments pour contrer l’hégémonie régionale de Téhéran.

Avec une portée plus politique que militaire, les frappes occidentales en Syrie sont motivées par la volonté occidentale de revenir sur la scène syrienne. Un fait qui n'est pas de nature à bouleverser l'équilibre des forces. Dossier.

Lors d’une rencontre avec le groupe de presse accompagnant la mission Door Knock à Washington, Mahmoud Mohieddine, premier vice-président de la Banque mondiale pour le programme de développement, est revenu sur la performance de l'économie égyptienne et les moyens de la relancer. Entretien.

Alors que le conflit syrien est entré le 15 mars dans sa huitième année, la situation reste critique dans la Ghouta orientale et autour d'Afrine, deux fronts chauds qui témoignent à la fois de la supériorité militaire du régime ainsi que de la complexité et de l'extension du conflit.

En visite à Washington la semaine dernière, la délégation égyptienne de la Chambre américaine de commerce a atteint son objectif : convaincre ses interlocuteurs américains des progrès réalisés par l'économie égyptienne ainsi que des nombreuses possibilités d'investissement.

Une délégation égyptienne de la Chambre américaine de commerce s'est rendue cette semaine à Washington pour convaincre les responsables américains de la viabilité de l’économie égyptienne. Bilan.

Mohamed Al-Saïd Idriss, spécialiste des affaires iraniennes au CEPS d’Al-Ahram, estime que, pour Washington comme pour Tel-Aviv, il n’est pas question d’un Iran fort qui menacerait la suprématie israélienne dans la région.

Alors que l'annonce du nouveau plan de paix israélo-palestinien peaufiné par Washington se fait attendre, Israël poursuit ses gestes de provocation. L'Autorité palestinienne tente de trouver une nouvelle voie.

Lors d'un sommet régional pour la paix en Afghanistan, le président afghan Ashraf Ghani a accepté pour la première fois d'intégrer les Talibans dans le processus politique afin de mettre fin à 17 ans de guerre. Les rebelles, eux, appellent à un dialogue avec Washington.

La relance du projet de défense européenne lors de la Conférence de Munich sur la sécurité et la défense constitue un recul de l’influence de Washington en Europe et fait craindre des crispations au sein de l'Otan.

Dans le cadre de sa tournée au Moyen-Orient, le secrétaire d'Etat américain, Rex Tillerson, a été reçu lundi 12 février au Caire par le président Abdel-Fattah Al-Sissi. La lutte contre le terrorisme et les crises régionales étaient au centre des discussions.

Le classement des Etats-Unis de deux groupes affiliés des Frères musulmans sur sa liste de terroristes est perçu comme une étape vers une inclusion des Frères. L'« hésitation » de Washington d’interdire la Confrérie sur ses sols est toutefois critiquée.

Réagissant à la création par Washington d'une force kurde au nord de la Syrie pour combattre Daech, la Turquie a lancé une offensive contre les Kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) dans la région d'Afrine.

Après avoir laissé planer le doute, le président américain, Donald Trump, a finalement décidé de maintenir la levée des sanctions contre l’Iran en vertu de l'accord sur le nucléaire. Mais il a lancé un ultimatum de quatre mois aux Européens pour durcir le pacte s'ils veulent éviter un retrait de Washington.