Waeil Ashry ne cesse de s’aventurer dans l’écriture. Dans son nouveau recueil de nouvelles, Al-Ighraa qabl al-akhir lel sayed Andersen, il creuse dans une langue qui rime avec le labyrinthe de la mégapole mondiale. Voici un extrait du 1er chapitre : « Le café du matin dans une image qu’un Buenos-Airien se renvoie de lui-même ».