Depuis la révolution, les mineurs sont fréquemment la cible d’exactions policières. Détenus illégalement, torturés ou exploités, ils restent sans défense face aux crimes dont ils sont victimes.
Le pays a célébré cette semaine le deuxième anniversaire de la révolte populaire qui a renversé le régime de Kadhafi. Aucun incident n’est venu troubler les manifestations malgré des craintes sur un possible regain de violences.
Scènes d’affrontements avec la police, violences à l’égard d’activistes, suivies de leur mort, et entêtement du régime à rester inflexible sur sa façon de gouverner...Les événements de ces derniers jours sont bien loin des attentes post-révolutionnaires et l’avenir du pays apparaît d’autant plus bouché.
L’attaque du Sémiramis par un groupe de voyous a défrayé la chronique. La chaîne hôtelière, qui a remercié les révolutionnaires pour leur aide à chasser les assaillants, veut éviter de faire enfler la polémique. Les alentours sont en train d’être nettoyés.
Les récentes scènes de violences policières, filmées en direct, dévoilent un peu plus les méthodes de cette institution très critiquées. Le ministère de l'Intérieur semble incapable de se réformer au risque de provoquer une révolution.
Sortant d'un silence trentenaire, Al-Azhar a invité tous les partis politiques à prendre leurs responsabilités et à signer un traité de non-violence. Saluée dans son ensemble, l'initiative n'a cependant eu aucun impact dans la rue.
Les violences prennent une ampleur inquiétante dans le pays avec, en toile de fond, le deuxième anniversaire de la révolution du 25 janvier. En réaction, le président Morsi opte pour la solution sécuritaire tandis que son appel au dialogue est rejeté par l’opposition.
Datant de la mi-janvier, le dernier bilan faisait état de 600 000 réfugiés et d'environ 60 000 personnes tuées en Syrie depuis le début des violences.
De Madinet Nasr à Ittihadiya, une marche était organisée pour dénoncer le régime. Peu suivie, elle reste une illustration des manifestations du 25 janvier et des violences survenues en marge de ces protestations pacifiques.
L’émissaire international, Lakhdar Brahimi, est en visite dans le pays dévasté par 21 mois de violences. Alors que le conflit s’éthnicise, il vient tenter encore une fois de trouver une issue politique.
Le Parquet général poursuit l’enquête sur les violences de la nuit du 5 au 6 décembre autour du palais présidentiel.
Une délégation d’artistes et d’animateurs culturels s’est rendue dans les camps de réfugiés syriens à la frontière turque. Son but : soigner à travers l’art les blessures des violences meurtrières, de la peur et de l’exil. Reportage.
Les talibans ont perpétré une série d’attentats suicide contre la minorité chiite, faisant des dizaines de morts et de blessés à l’occasion de l’Achoura. Sur fond de violences, une réunion entre huit pays musulmans émergents s’est tenue à Islamabad.
Le Sinaï continue à être le théâtre de violences contre la police et l'armée. La présence massive des forces de sécurité dans la péninsule fait craindre aux habitants le retour des arrestations arbitraires.
Réélu, le président Barack Obama se retrouve face à une longue liste de défis : crise nucléaire iranienne, casse-tête afghan, violences en Birmanie, processus de paix paralysé et influence croissante de Pékin dans la région. Passage en revue.
Les violences confessionnelles entre les bouddhistes de l’ethnie rakhine et les Rohingyas musulmans se sont aggravées cette semaine, déclenchant une grave crise humanitaire parmi les musulmans. La communauté internationale s’est contentée de lancer des appels à la paix.