Professeur de sciences politiques à l'Université du Caire, Mostafa Kamel Al-Sayed commente l'absence de réactions en Egypte par rapport à la crise à Gaza. Il pense que l'absence de démocratie et la polarisation des médias sont à l’origine de cette situation.
Tareq Fahmi, professeur de sciences politiques à l’Université du Caire, estime que l’Egypte n’acceptera plus les pressions des Américains en matière de démocratie.
Quel est l’intérêt de poser aujourd’hui cette question du voyage d’Egypte vers l’Europe, et inversement, comme l’a fait le colloque international organisé par le département de français de la faculté des lettres de l’Université du Caire ? Surtout si l’on se penche sur le passé, et plus particulièrement sur la période de 1830 à 1950 ?
Ayman El Raqab, professeur de sciences politiques à l’Université Al-Qods et membre du Fatah, estime que la récente réconciliation a des chances de tenir, même si le dossier de la sécurité avec le Hamas reste en suspens.
Les attentats de l’Université du Caire, ayant fait un mort et une dizaine de blessés, relancent le débat sur le terrorisme en Egypte et les moyens d’y faire face.
Pour Mohamed Al-Sobki, directeur du Centre de recherches sur l’énergie à l’université du Caire, la pénurie d’électricité qui frappe le pays présente diverses solutions.
Trois questions à Carlos Eduardo Velez, professeur d’économie à l’Université de Los Andes en Colombie.
Pour faire face à la flambée de violences, plusieurs universités ont mis en place des mesures sévères contre les étudiants islamistes. Etat de lieux.
La justice a ordonné cette semaine le retour de la police au sein du campus universitaire. Une décision très controversée.
Coupures d’électricité, grèves, non-reprise ni des écoles, ni des universités ... l’Egypte a l’air de naviguer en plein brouillard.
Le report, pour la deuxième fois, de la rentrée scolaire et universitaire met en question l’efficacité de la politique sécuritaire face aux manifestations estudiantines.
Le géologue Abass Al-Chéraki, expert hydraulique au Centre des recherches et des études africaines à l’Université du Caire, tempère la « catastrophe » invoquée par l’Egypte, que provoquerait le barrage en Ethiopie.
Une ancienne villa de Doqqi est en passe de devenir un nouvel espace culturel. Les travaux de réhabilitation sont menés d'arrache-pied, grâce aux efforts de 25 bénévoles et d'un professeur, tous passionnés d'art.
Ibrahim Abdel-Guélil, professeur d’énergie à l’Université du golfe Arabique et ancien président de l’Agence égyptienne pour les affaires de l’environnement, s’exprime sur l’idée d’utiliser le charbon comme combustible.