Les nouveaux amendements de la loi sur l'impôt foncier, approuvés par le Conseil des ministres, visent plus de justice sociale et de recettes pour l'Etat. Il faudra toutefois que le gouvernement se montre habile pour atteindre ces deux objectifs.
Malgré un taux de croissance de 3 %, les réformes économiques piétinent en Tunisie. Les objectifs sociaux fixés par la révolution se heurtent au manque de vision et de volonté des politiciens.
Ahmad Al-Boraï, ministre de la Solidarité sociale, affirme que le mot d’ordre actuel est la justice sociale. Mais les moyens pour y parvenir semblent insuffisants et difficiles à mettre en place.
Au 43e anniversaire de sa mort, Nasser est invoqué plus que jamais par les Egyptiens. Lui, l’ennemi juré de la confrérie des Frères musulmans, est aussi le chantre de la justice sociale. Pourquoi une telle force de présence ?
Malgré les risques du métier, aucune protection sociale n'est accordée aux pêcheurs. Beaucoup souffrent depuis longtemps de conditions de vie précaires.
Alaa Awad, porte-parole du ministre de la Main-d’oeuvre et de l’Emigration, affirme que le gouvernement se penche avec sérieux sur la couverture sociale des travailleurs journaliers.
Un nouveau projet permettant aux journaliers de bénéficier d'une assurance sociale serait sur le point d'être appliqué. Lueur d'espoir ou simple calmant ?
La nouvelle Constitution devrait comporter plus de droits en matière de justice, laissent penser les membres du comité des 50 chargés d'amender le texte de 2012. Un pari qui semble difficile à tenir.
Avec un chômage en hausse et une pauvreté qui gagne du terrain, les inégalités persistent en Egypte. Comment s'expriment-elles ? Et quelles sont les priorités gouvernementales face à ce problème ? Dossier.
Poète de l’arabe dialectal, Taher Al-Berenbali éternise dans ses vers les militants de la révolution du 25 janvier : Ahmad Douma, emprisonné pour avoir humilié le pouvoir. Et Mina Daniel, martyr du massacre de Maspero en octobre 2011.
Revolution Graffiti, titre du dernier ouvrage de Mia Gröndahl, est quasiment devenu un pléonasme. Dénué de réflexion, il dresse pourtant un constat indéniable : la vitalité de cet art fait de lui un moteur de l’innovation sociale.
L’incertitude politique et les tensions sociales persistantes empêchent un redressement économique du pays. Et malgré des atouts comme sa proximité avec l’Europe, le chômage reste un mal endémique.
Chaque groupe ou catégorie de la population a son propre café. Une manière de se réunir avec ceux qui nous ressemblent. Mais ce phénomène est surtout révélateur de la division que vit la société depuis la révolution.
Depuis le blocus sur Gaza, les tunnels font partie du quotidien des Sinawis, transformant la vie sociale et économique de la péninsule.