Rejetant les nouvelles sanctions du Conseil de sécurité, Pyongyang s’en prend à Séoul et Washington, et laisse entendre d’autres essais nucléaires à venir, affirmant que ces sanctions renforceront son programme nucléaire.
Les charpentes ornées d’ivoire du minbar de la mosquée de Qaïtbay ont été volées cette semaine. Ce type de vandalisme est devenu fréquent, notamment à cause de l’absence de sécurité.
L’industrie du cinéma en Egypte traverse les pires conditions de son histoire. Troubles sécuritaires, baisse de fréquentation des salles et sorties repoussées s’ajoutent au phénomène croissant du piratage. Et selon les professionnels, la crise devrait durer.
Les violences prennent une ampleur inquiétante dans le pays avec, en toile de fond, le deuxième anniversaire de la révolution du 25 janvier. En réaction, le président Morsi opte pour la solution sécuritaire tandis que son appel au dialogue est rejeté par l’opposition.
Pyongyang a menacé cette semaine de procéder à un autre essai nucléaire suite à la série de sanctions imposées la semaine dernière par le Conseil de sécurité, après le tir nord-coréen du 12 décembre.
D’ici les législatives, le gouvernement a deux mois pour trouver des solutions aux problèmes économiques, sécuritaires et sociaux. Au-delà de l’enjeu électoral, c’est la stabilité de l’Egypte qui est en question.
La réaction molle des Etats-Unis est choquante pour certains, révélatrice pour d’autres. Les événements reproduisent trait pour trait la stratégie qui maintenait Moubarak au pouvoir : le soutien absolu de l’administration américaine au régime, en contrepartie de la garantie de la sécurité d’Israël.
Au lieu de demander au nouveau patriarche de se taire sur les affaires des coptes, nous devons plutôt demander à l’Eglise qu’il préside ce fardeau pour que les institutions de l’Etat assument la responsabilité de résoudre les problèmes des citoyens et assurer leur protection et sécurité.
A la 33e édition du World Travel Market, l’Egypte a fait son come-back dans le secteur, en affirmant le retour de la stabilité et de la sécurité dans le pays. Malgré certains doutes,les chiffres repartent à la hausse.
Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité s’est tenue samedi pour débattre de la situation à l’est du pays après les derniers combats entre l’armée et la rébellion du M23, qui a mené une offensive victorieuse.
Le Sinaï continue à être le théâtre de violences contre la police et l'armée. La présence massive des forces de sécurité dans la péninsule fait craindre aux habitants le retour des arrestations arbitraires.
Malgré l’interdiction des autorités et les hauts préparatifs sécuritaires, l’opposition est parvenue à se réunir massivement pour protester contre un amendement de la loi électorale.
Un grand débat est ouvert autour du projet de loi sur la sécurité que vient de lancer le gouvernement. Certains estiment qu’il en ressortira une copie de la loi d’urgence qui a tant fait souffrir les Egyptiens.
Alors que les tensions planent toujours sur le pays, l’Assemblée générale a élu un nouveau premier ministre pour choisir un gouvernement qui doit mener vers la stabilité et la sécurité.
Le Conseil de sécurité de l’Onu a adopté la résolution de la France pour une intervention armée visant à reconquérir le nord du pays. Les groupes qui en ont le contrôle menacent de se venger.
Deux résolutions présentées par la France, doivent être votées au Conseil de sécurité de l’Onu dans les prochains jours, afin de trouver une solution définitive à la crise dans le nord du pays.
La reprise des croisières entre Le Caire et Louqsor met en avant les villes et les vestiges de la Moyenne et de la Haute-Egypte. Pour des questions de sécurité, elles n’étaient jusqu’à maintenant que peu fréquentées par les touristes.
Sécurité, carburant, pain, propreté et circulation : Morsi avait promis de régler ces cinq dossiers épineux dans les 100 premiers jours de son mandat. L’Hebdo a interrogé des experts pour évaluer la mise en œuvre de ses engagements.
Le pays connaît une nouvelle vague de manifestations. L’opposition accuse le gouvernement de dérive sécuritaire et d’échecs dans les principaux dossiers post-révolution.