Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et son parti ont remporté le double scrutin anticipé du dimanche 24 juin. Un coup dur à l’opposition qui s’est pourtant déployée à barrer la route à Erdogan.
A l’approche des élections législatives et présidentielle anticipées du 24 juin, l’opposition s’organise pour tenter de barrer la route au président Recep Tayyip Erdogan et son parti. Une mission difficile.
En annonçant des législatives et une présidentielle anticipées, le 24 juin prochain le président turc, Recep Tayyip Erdogan, fait une nouvelle manigance pour briguer un nouveau mandat et mettre en oeuvre ses prérogatives que lui a conférées la révision constitutionnelle d’avril 2017.
Adoptant une politique à la fois expansionniste et agressive, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, attise les inimitiés avec ses voisins d'une part, et les Occidentaux de l'autre, au risque d'isoler son pays sur la scène internationale.
Un an après le putsch manqué, le président turc Recep Tayyip Erdogan poursuit une politique répressive qui lui vaut de nombreuses critiques internes ainsi que des tensions régionales et internationales.
Le parlement turc a enfin approuvé en première lecture la réforme constitutionnelle renforçant les pouvoirs du président turc Recep Tayyip Erdogan.
Binali Yildirim, fidèle allié du président turc Recep Tayyip Erdogan, a été élu dimanche à la tête de l'AKP et consacré nouveau premier ministre, renforçant la mainmise d'Erdogan sur le pays.
Alors que le président turc, Recep Tayyip Erdogan, tente de redorer son image en se disculpant de tout soutien à Daech, son échec à régler la crise kurde lui attire un déluge de critiques internes et externes.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a fixé la date du 1er novembre prochain pour des législatives anticipées, alors que le spectre d’un conflit national majeur se profile à l’horizon.
A l'approche des législatives turques du 7 juin, le parti islamo-conservateur au pouvoir (AKP) a entamé sa campagne électorale dont l'unique enjeu serait la présidentialisation du régime comme l'espère le président Recep Tayyip Erdogan.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan doit nommer, ce 27 août, son successeur à la têtede son parti islamo-conservateur (AKP) qui ne sera autre que son ministre des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu.
Les deux principaux partis d’opposition turcs ont désigné un candidat commun pour l’élection présidentielle prévue le 10 août. Leur choix, Ekmeleddin Ihsanoglu, ne fait pas l’unanimité auprès des bases populaires des laïcs.