Les négociations de paix entre Palestiniens et Israéliens sont au point mort. Et la médiation américaine fait aussi preuve d’impuissance malgré la visite d’un émissaire.

Le nouveau gouvernement malien a été formé le 11 avril. Il aura pour tâche de poursuivre le processus de réconciliation nationale.

Le 29 avril prend fin le délai de 9 mois accordé lors de la reprise des négociations israélo-palestiniennes. Washington redouble ses efforts pour tenter de sauver le processus de paix, bloqué suite au revirement israélien et aux menaces de Tel-Aviv.

Barack Obama a reçu cette semaine Benyamin Netanyahu pour évoquer le processus de paix. Il recevra prochainement Mahmoud Abbas.

Les Maliens ont voté sans enthousiasme dimanche au second tour de législatives au lendemain d'un attentat djihadiste qui a tué deux soldats sénégalais de l'Onu.

Le premier ministre pakistanais, Nawaz Sharif, était en Afghanistan cette semaine. Objectifs : améliorer les relations entre les deux pays, établir un front uni face à la menace talibane et relancer le processus de paix afghan.

La visite du président français en Israël et dans les territoires palestiniens était axée sur le dossier iranien, négligeant l'essentiel : le processus de paix.

La nomination du mollah Fazlullah, un dur opposé à tout dialogue de paix avec Islamabad, à la tête des talibans pakistanais, étouffe le processus de paix naissant entre les rebelles et le gouvernement.

Professeur d’économie à l’Université de Tunis, Sonia Naccache estime nécessaires des réformes profondes pour relancer l’économie.Mais elle se montre pessimiste quant à leur mise en place.

L'image des Frères musulmans en tant que force politique est éclipsée par celle d'une « organisation terroriste ». Certains font campagne pour inclure la confrérie à la liste des organisations terroristes, un processus compliqué et peu adapté au statut des Frères en Egypte.

Affaiblis par la répression et abandonnés par leurs alliés, les Frères musulmans sont tiraillés entre le recours à la violence et l'intégration au sein du processus politique.

Depuis l'intervention policière du 14 août contre les deux sit-in de Rabea Al-Adawiya et d'Al-Nahda, l'Egypte est sujette à une vague de violence meurtrière. Une situation qui compromet le processus politique à venir.

Depuis les Accords d’Oslo de 1993, les négociations israélo-palestiniennes ont repris dans le cadre d’un processus de paix par étapes. Mais les retards et les fausses promesses restent des entraves récurrentes.

Malgré la poursuite du processus de paix, un climat de suspicion règne entre le PKK et Ankara. Le conflit armé dans la Syrie voisine n'y est pas étranger.

Rached Ghannouchi, le leader d’Ennahda, s’affiche en homme de consensus. Lors d’une table ronde dans les locaux d’Al-Ahram, il est revenu sur l’extrémisme, la laïcité, les révolutions arabes et leur avenir démocratique. Il se dit aussi optimiste sur le processus démocratique en cours en Tunisie.

Avocat et spécialiste en droit international, Ali Al-Ghatit réévalue le processus de privatisation des entreprises à la lumière de l’actualité. Selon lui, le processus a été entaché de corruption, au détriment de l'économie.

Le PKK a annoncé le retrait de ses troupes hors du pays à partir du 8 mai dans le cadre du processus de règlement de la question kurde

Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, et le secrétaire à la Défense, Chuck Hagel, étaient dans la région cette semaine, l’un pour évoquer le processus de paix, l’autre pour la vente d’armes. Avec évidemment un intérêt porté sur les contrats d’armement, et en toile de fond la question iranienne.