La menace pèse de plus en plus sur le Liban, dernier pays où la ligne de rupture entre sunnites et chiites n’a pas encore franchi le pas de l’affrontement militaire.
La décision arabe de classer Hezbollah comme organisation terroriste risque d’exacerber profondément la crise qui sévit dans la région.
L'Etat Islamique (EI) continue de perdre du terrain en Iraq, de quoi ouvrir la voie à la stabilisation de ce pays dont des pans de territoires restent contrôlés par l’organisation terroriste.
Les attentats perpétrés en Tunisie et au Koweït et revendiqués par Daech soulèvent diverses interrogations sur les capacités globales de l'organisation terroriste.
Les analyses affluent depuis l'arrestation, la semaine dernière, de deux cadres des Frères musulmans « prônant le pacifisme ».
Le gouvernement conteste une décision récente de la justice, déclarant le Hamas organisation terroriste.
Le Hamas a été déclaré organisation terroriste par la justice égyptienne. La détérioration des relations avec le mouvement palestinien n’empêchera pas Le Caire de poursuivre son rôle de médiateur dans le conflit israélo-palestinien.
Après la décision de la justice de déclarer organisation terroriste la branche militaire du Hamas, le mouvement palestinien a déclaré « ne plus accepter la médiation de l’Egypte dans le processus de paix».
Le gouvernement va mettre en application le verdict de la Cour du Caire déclarant les Frères musulmans organisation terroriste.
L’Arabie saoudite a pris des mesures sévères pour parer à toute menace islamiste.
L'Egypte vient de déclarer officiellement les Frères musulmans « organisation terroriste ». Eloignée des réalités du terrain, cette décision n’est pas susceptible d’endiguer la vague de violence qui secoue le pays. Elle confirme la tendance à stigmatiser le courant islamiste.
Le premier ministre, Hazem Al-Beblawy, a qualifié mardi les Frères musulmans d’« organisation terroriste », peu après un attentat ayant fait au moins 15 morts et 130 blessés, dans la ville de Mansoura (delta).