Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et son parti ont remporté le double scrutin anticipé du dimanche 24 juin. Un coup dur à l’opposition qui s’est pourtant déployée à barrer la route à Erdogan.
Une méga-plateforme électorale comprenant la majorité présidentielle et les opposants qui siègent au gouvernement a été créée en République Démocratique du Congo, en vue de l’élection de décembre prochain. L’opposition non gouvernementale se dit sceptique.
Une atmosphère tendue regagne la Guinée avec l’annonce de l’opposition de la suspension de sa participation au dialogue politique. Les manifestations pourraient reprendre les prochains jours.
A l’approche des élections législatives et présidentielle anticipées du 24 juin, l’opposition s’organise pour tenter de barrer la route au président Recep Tayyip Erdogan et son parti. Une mission difficile.
L’annulation de la nouvelle loi électorale contestée par l’opposition n’a pas apaisé la rue à Madagascar. Les manifestants réclament le départ du président malgache.
Plusieurs élections cruciales sont prévues en 2018 dans différents pays africains. Mais leur tenue reste tributaire à des conditions essentielles: régler les questions de financement et d’organisation, mettre fin à l'instabilité politique et juguler les problèmes d'insécurité.
Réunie à Riyad sous les auspices de l'Arabie saoudite, l'opposition syrienne tente de s'adapter à la nouvelle donne régionale.
Au grand dam de l’opposition, la communauté internationale a accepté le calendrier électoral annoncé en RDC et prévoyant des élections en décembre 2018. Le pays risque tout de même l'instabilité.
La situation au Kenya ne cesse de s’aggraver suite au nouveau scrutin présidentiel tenu la semaine dernière et boycotté par l’opposition. Le pays risque de se diriger vers des violences ethniques.
Après sa défaite aux élections régionales, l'opposition, qui n'a recueilli que cinq postes de gouverneurs, a ouvert une nouvelle crise politique, en refusant de prêter serment devant l'Assemblée constituante.
A quelques jours des élections prévues le 26 octobre, le contexte politique est très confus au Kenya suite au retrait du candidat de l'opposition de la course présidentielle.
Quelques semaines à peine avant la tenue de l'élection présidentielle kényane, un projet de réforme en urgence de la loi électorale ravive les tensions entre l'opposition et le pouvoir.
Le régime syrien et l'opposition ont accepté une nouvelle proposition turco-irano-russe pour le déploiement de forces de maintien de la paix dans les régions de Lattaquié, de Hama et d’Alep.
Les Kenyans s’apprêtent à une nouvelle élection présidentielle le 17 octobre, après l’invalidation par la justice de celle d’août. Une invalidation jugée en soi une victoire pour l'opposition.
Au grand dam de l'opposition, le président Nicolas Maduro a remporté une victoire après l'élection d'une puissante assemblée constituante qui va réécrire la Constitution, afin de le maintenir au pouvoir.