Le président du Parti du peuple républicain et chef de l’opposition turque, Kamal Kilitchidar Oglo, dénonce la politique interne et externe du gouvernement d’Erdogan.
Comme prévu, les négociations de paix de Genève-2 se sont achevées sans réelles avancées. Régime et opposition s'accusent mutuellement de cet échec.
La communauté internationale a fourni une aide humanitaire aux assiégés syriens. Cet effort coïncide avec la reprise des pourparlers entre régime et opposition sous l'égide de l'Onu à Genève.
Les premières discussions entre pouvoir et opposition syriens à Genève n'ont abouti à aucun résultat concret et doivent reprendre le 10 février. Mais leur avenir reste incertain, le régime n'ayant pas confirmé sa participation à la prochaine session.
Les dirigeants de l’opposition ukrainienne ont décidé de poursuivre leur mouvement de protestation malgré les concessions sans précédent faites la veille par le président Viktor Ianoukovitch, dont le poste de premier ministre, en vue de tenter de régler une crise qui dure depuis deux mois.
Essayant de retrouver la confiance de l’opposition, l’Etat Islamique en Iraq et au Levant (EIIL), lié à Al-Qaëda, tend la main aux rebelles syriens, ses anciens alliés.
Après des semaines d'atermoiements et de pressions occidentales et arabes, l'opposition syrienne a accepté de participer à la conférence de paix de Genève-2. L'espoir de parvenir à un accord reste minime.
Contaminé par la crise syrienne, le Liban a témoigné en moins d'une semaine de deux attentats, l’un visant un ancien ministre pro-opposition syrienne, l'autre un quartier du Hezbollah, lequel combat aux côtés de Bachar Al-Assad.
Après avoir mobilisé des centaines de milliers de manifestants de l’opposition pro-européenne les deux dimanches précédents, l’opposition a organisé dimanche 15 décembre une grande manifestation sur la place de l’Indépendance à Kiev contre le président Viktor Ianoukovitch à qui elle reproche depuis près d’un mois sa volte-face sur l’intégration européenne au profit de la Russie.
Alors que la Russie, les Etats-Unis et l'Onu tentent de réunir le régime syrien et l'opposition à la même table de négociations, les groupes rebelles essaient de s'unir pour trouver du soutien.
L'opposition syrienne met des conditions à sa participation à Genève-2. Seules des pressions de ses al iés pourraient l'inciter à s'ouvrir au dialogue alors qu'elle souffre toujours de profondes divisions idéologiques
A Tunis, le dialogue national entre l'opposition et le pouvoir est lancé. Les deux parties n'ont que peu de temps pour régler les nombreux points de divergences qui minent le pays depuis 2 ans.
La conférence de paix de Genève-2 reste suspendue à la participation d'une opposition forte et unie, faute de quoi toute tentative pour trouver une issue au conflit risque d'échouer.
La communauté internationale multiplie ses consultations afin d'éviter une explosion de violence en Guinée, où l'opposition crie à la « fraude » et réclame l’annulation des législatives du 28 septembre dernier, dont le pouvoir revendique la victoire.
Alors que la communauté internationale s'acharne pour trouver une solution pacifique via Genève-2, Bachar Al-Assad maintient le flou sur son éventuelle candidature en 2014,et l'opposition reste sourde à toute tentative de règlement.
L'opposition contre Béchir ne cesse d'attirer davantage de contestataires de tous bords. Arrêt sur les principales figures.
L’Egypte réitère sa position opposée à toute intervention internationale armée en Syrie, une position qui jure avec celle adoptée sous le régime du président déchu Mohamad Morsi. Une volte-face qui met Le Caire en opposition aux Etats-Unis et aux donateurs du Golfe.
Après le sommet des Grands Lacs centré sur la crise congolaise, des concertations nationales ont commencé cette semaine. Mais le boycott de l'opposition et la tension dans l'est du pays amenuisent les chances de réussite.
Malgré les tentatives de parvenir à un compromis, gouvernement et opposition campent sur leurs positions.