Le mouvement d'opposition syrien Al-Ghad vient de tenir au Caire une conférence regroupant les leaders du mouvement, ainsi que d'autres figures de l'opposition. Entretien avec son porte-parole, Monzer Aqbiq.
L'opposition poursuit sa mobilisation populaire et maintient la pression sur le président socialiste Nicolas Maduro, qui a fait un nouveau faux pas en appelant à modifier la Constitution pour s'accrocher au pouvoir.
Ancien pilier du régime d’Assad, dissident depuis 2012 et aujourd'hui membre prominent du Tayar Al-Waad (opposition de l'extérieur), Firas Tlass fait le point sur la situation en Syrie. Selon lui, ce n'est qu'une fois que les parties participant au conflit seront épuisées par la guerre et que les grands pays seront lassés, qu’une ébauche de solution naîtra.
Déterminée à poursuivre la mobilisation jusqu'à la tenue d'élections anticipées, l'opposition a organisé cette semaine les manifestations les plus massives depuis le début de la crise qui secoue le pays il y a plus d'un an.
Alors que les prochaines négociations intersyriennes devraient se faire directement entre l'opposition et le régime, Washington a déclaré ne plus faire du départ de Bachar Al-Assad une priorité, de quoi augmenter la pression sur l'opposition.
Sous le poids des pressions internes et externes, la Cour suprême vénézuélienne a dû revenir sur sa décision de s'octroyer les pouvoirs du parlement. De quoi prouver les tergiversations du pouvoir face à une opposition qui appelle au départ du président Nicolas Maduro.
L'opposition congolaise s’est dotée d’une nouvelle direction, en vue de relancer les discussions sur l'application de l'accord de cogestion de la République démocratique du Congo, signé avec le pouvoir.
Les Russes ont présenté vendredi dernier un projet de Constitution syrienne. Un texte d’ores et déjà critiqué par une partie de l'opposition.
Après des semaines d’attente et des heures de tractations, la majorité et l'opposition en République démocratique du Congo ont finalement signé l'accord organisant la transition entre la fin du mandat du président Joseph Kabila le 20 décembre dernier, et l'élection de son successeur fin 2017.
Kassem Al-Khateb, membre du Courant de l’avenir, l’un des groupes d’opposition syriens, estime que la reprise d’Alep par le régime n’a pas tranché la guerre.
Les négociations entre l'opposition et le pouvoir en République démocratique du Congo butent toujours sur les questions essentielles, alors que le mandat du président Joseph Kabila a expiré mardi dernier.
Censée apaiser les tensions entre l'opposition et le régime, la nomination, en RDC, d’un nouveau premier ministre issu de l'opposition vise davantage à diviser cette dernière qu'à régler la crise.