Le gouvernement d'union nationale n'est toujours pas en place, et les Occidentaux s'inquiètent des attaques du groupe Etat Islamique (EI) sur le sol libyen.
Les Occidentaux s’alarment de la soudaine montée en puissance de l'EI en Libye. Un accord politique serait, selon eux, l'unique rempart.
Le crash de l'Airbus russe la semaine dernière dans le Sinaï se politise. Tandis que les Occidentaux privilégient la thèse d’un attentat, l’Egypte insiste sur l’absence de preuves et accuse ces derniers de préempter l’enquête.
Sur fond de graves tensions dans l›est ukrainien, le président russe, Vladimir Poutine, a été harcelé par les Occidentaux, lors du sommet du G20, pour son soutien aux séparatistes pro-russes.
Avec le blocage des négociations de paix, de plus en plus de pays occidentaux envisagent la reconnaissance de la Palestine, comme un moyen de pression diplomatique.
Pour ce qui est de la coalition anti-EI, l’Iran et les Etats-Unis se sont tournés le dos. Pour les Occidentaux, pas question de collaborer avec les Iraniens. D’ailleurs, l’Iran n’a pas été convié à la réunion de Paris.
Alors qu’une réunion internationale est prévue le 17 avril pour tenter de trouver une issue à la crise ukrainienne, Moscou et les Occidentaux campent toujours sur leurs positions.
La Crimée a plébiscité massivement son rattachement à la Russie lors d’un référendum qui a approfondi le clivage entre Russes et Occidentaux, et qui réveille les appétits des séparatistes de l’est de l’Ukraine.
Alors que le régime iranien et les Occidentaux doivent prochainement reprendre les discussions sur le dossier nucléaire, le nouveau président Hassan Rohani alterne gestes d’ouverture et discours musclé.
Les événements en Egypte ont déclenché des réactions controversées dans le monde. Tandis que les Occidentaux condamnent le « recours excessif à la force », des pays comme la Russie et la Chine ont adopté des positions nettement moins tranchantes.
A la suite des violents affrontements qui ont frappé le pays depuis le 14 août, les voyagistes occidentaux décident de rapatrier leurs clients et de fermer leurs ventes vers l'Egypte.
Après les pays occidentaux, la Coalition nationale syrienne tente de mener des discussions informelles avec le Conseil de sécurité des Nations-Unies concernant ses visées politiques et militaires.
La récente déclaration d’allégeance du groupe Al-Nosra à Al-Qaëda relance le débat sur l’identité même de l’opposition. Des interrogations qui bloquent tout espoir d’aide militaire de la part des pays occidentaux.