La ministre de la Solidarité sociale, Ghada Wali, s’exprime sur les pensions de retraite, les ONG et la société civile.
L'Institut suédois, le Conseil national de la femme, le groupe Go Bike et d’autres ONG ont mené l’initiative « Haro sur le harcèlement ». Par le vélo, ils revendiquent le droit de la femme de circuler tranquillement dans la rue.
Magdi Abdel-Hamid, président de l’Association de la promotion de la participation communautaire, l’une des 80 ONG égyptiennes autorisées à suivre la présidentielle, affirme avoir déjà relevé des irrégularités dans la campagne de Sissi et un favoritisme à son égard de la part de plusieurs médias.
Différents organismes nationaux et internationaux peuvent observer (et non contrôler) le processus électoral.
L'ONG Chabab Al-Kheir, située à Béni-Souef, permet aux jeunes filles de milieux défavorisés de fêter leur mariage équipées d’un trousseau complet.
La confirmation d’un verdict condamnant à trois ans de prison fermes 3 figures de la révolution du 25 janvier, pour avoir enfreint la loi sur les manifestations, relance le débat sur cette dernière. Mouvements politiques et ONG sont mobilisés.
Après l'assassinat de sept coptes en Libye dans des circonstances non encore élucidées, les ONG se mobilisent en Egypte, réclamant une attitude plus ferme des autorités.
Les craintes sur la transparence et le déroulement du référendum sont nombreuses : le nouveau système permet de voter à l'extérieur de sa circonscription, la mise en place de la surveillance par les ONG a été retardée et des associations ont été éliminées sans raison.
Comportements irresponsables, négligence des touristes ou des riverains : des ONG prennent les choses en main pour sauvegarder un patrimoine menacé. Deux d'entre elles obtiennent un franc succès au vu de leurs résultats.
La justice égyptienne a bel et bien interdit les « activités » des Frères musulmans et a ordonné la confiscation des biens de la confrérie.
Un rapport d’une ONG de droits de l’homme révèle le lourd malaise de la question religieuse en Egypte aux niveaux politique et social. Or, en même temps, des mutations s’opèrent comme une lame de fond imperceptible.
Politiquement engagée dans l'opposition au régime islamiste, Inès Mékkawi est aussi membre fondateur de l'ONG Bahiya ya Misr. Un mouvement féminin égyptien, qui entend par son action redonner à la femme sa juste valeur dans la société.
Indignés face à la condamnation à des peines de prison d’activistes d’ONG, les Etats-Unis insistent toutefois
sur leur « intérêt stratégique » avec Le Caire.
Le projet de loi sur les ONG, à l'étude devant le Conseil consultatif, renforce le contrôle du gouvernement sur la société civile. Jugé liberticide, il impose un système d'autorisations sans rapport avec une quelconque démarche démocratique.