Sous le feu des critiques, Nouri Al-Maliki a été écarté. Son successeur, Haïdar Al-Abadi, a la lourde tâche de former un gouvernement d’union réclamé à cor et à cri par la communauté internationale pour faire face à l’offensive de l’EI.
Alors que le Parlement peine à se réunir, Nouri Al-Maliki est confronté à la fois à l'offensive des insurgés sunnites et aux tensions grandissantes avec le Kurdistan.
Bien qu’affaibli, Nouri Al-Maliki s’accroche à son poste. Il compte sur un regain d’allégeance des chiites face à la menace des insurgés sunnites. Un jeu qui risque de mettre en péril l’avenir de l’Iraq.
Les pays du Golfe perçoivent l'EIIL comme une menace à leur sécurité, mais refusent en même temps de soutenir le premier ministre iraqien Nouri Al-Maliki.
Les premières législatives depuis le départ des troupes américaines se déroulent ce mercredi en Iraq. Le premier ministre sortant, Nouri Al-Maliki, reste favori malgré le climat de violences et la crise politique aiguë.
Le gouvernement iraqien s'est engagé dans une vaste campagne contre des insurgés sunnites jugés proches d'Al-Qaëda. Cette dernière accentue davantage la crise politique en Iraq exacerbée par les luttes et les violences confessionnelles.
Les Etats-Unis ont promis au gouvernement iraqien une assistance militaire pour affronter Al-Qaëda après la visite de Nouri Al-Maliki à Washington. Mais l’Administration américaine pose ses conditions
Le gouvernement de Nouri Al-Maliki, accusé de monopoliser le pouvoir, peine à rétablir une situation économique et sécuritaire acceptable.
Depuis plus d’un mois, les citoyens manifestent contre le pouvoir du premier ministre chiite, Nouri Al-Maliki, en poste depuis 2006. La mort d’une dizaine de personnes a aggravé la situation.