Est-ce la fin du procès ? Sur quoi s’est basé le juge pour l’acquittement ? Quelles seront les conséquences de ce verdict ? Voilà les grandes questions suscitées dans la presse depuis que Moubarak a été innocenté par la justice.
Mohamad Zarea, président de l’Organisation arabe pour la réforme pénale, revient sur le procès de l’ancien président Hosni Moubarak.
Après l'acquittement de Moubarak, l'opinion publique est sous le choc. Les déclarations du juge n'ont pas réussi à apaiser la colère des familles des victimes.
La régularisation des terrains, cédés par l'Etat à prix cassé, est l’un des dossiers majeurs de la 16e conférence des investisseurs arabes. Elle devrait permettre de relancer les investissements étrangers, notamment en provenance du Golfe.
Accusé du meurtre de manifestants, Moubarak est en procès depuis 2011. Rappel des dates-clés.
Le report au 29 novembre du verdict du procès Moubarak alimente les spéculations. Certains craignent qu'il ne s'agisse d'un prélude à son acquittement.
Hassan Rateb, homme de réseaux et puissant investisseur depuis l’époque Moubarak, expose à l’Hebdo ses défis et projets, notamment dans l’énergie renouvelable, et sa perception de la justice sociale.
Amr Hachem Rabie, directeur adjoint du Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, estime que le nouveau Parlement ouvrira la porte au retour des anciennes figures de Moubarak.
Question liberté et droits de l’homme, les deux candidats ne sont pas sur la même longueur d’onde.
La justice a interdit aux caciques du régime déchu de Moubarak de disputer les élections législatives. Une décision qui relance un débat sur le principe de l'isolement politique.
Accusé d’intelligence avec l'étranger, le Mouvement du 6 Avril, fer de lance de la contestation contre le régime de Moubarak, est dorénavant interdit en Egypte.
Gilles Kepel, islamologue et professeur à l’Institut d’études politiques de Paris, revient sur la révolution de janvier 2011 et les événements qui l’ont suivie. Il analyse les raisons de la chute de Mohamad Morsi et évoque l’avenir des relations entre l’Egypte et l’Occident.
Al-Sayed Al-Badawi a été réélu le 25 mars à la tête du Néo-Wafd au terme d’un duel avec l’ancien cadre du parti Fouad Badrawi. Comme dans la plupart des formations politiques issues de l’ère Moubarak, les anciennes figures restent dominantes au sein du parti.