Une 2e réunion sur la paix en Syrie doit se tenir ce mercredi à Astana. Elle est censée préparer le terrain à la réunion de Genève qui se tiendra 10 jours plus tard.
Après la Syrie, Moscou cherche à étendre son influence dans le monde arabe en passant cette fois-ci par la Libye.
Les Russes ont présenté vendredi dernier un projet de Constitution syrienne. Un texte d’ores et déjà critiqué par une partie de l'opposition.
Alors que les voisins africains et arabes de la Libye s'activent tant bien que mal pour trouver une issue à la crise libyenne, l'entrée en jeu de Moscou risque de changer la donne.
La reprise d'Alep par le régime syrien marque également une victoire internationale pour Moscou et régionale pour Téhéran.
La Russie cherche à se positionner comme le principal partenaire militaire de la région.
Les affrontements se poursuivent à Alep. Mais ni les rebelles ni les troupes gouvernementales syriennes soutenues par Moscou ne parviennent pour l'heure à changer l'équilibre des forces.
Le dossier ukrainien est revenu à la surface à l'occasion d’un sommet euro-russe. Sans aboutir à des avancées concrètes, la rencontre laisse entrevoir une issue prochaine. Elle rappelle surtout que dans les négociations entre Moscou et l’Occident, l’Ukraine et la Syrie sont et seront inséparables.
Moscou a reporté la reprise des vols touristiques à destination des aéroports égyptiens. Un fait qui exaspère les professionnels de ce secteur en Egypte.
Alors que la guerre bat son plein à Alep, Washington a suspendu ses pourparlers avec Moscou sur la Syrie. Le Conseil de sécurité tente, timidement, d'instaurer un cessez-le-feu.
Le bras de fer entre la Russie et l'Occident a pris de nouvelles proportions suite à la reprise des bombardements intensifs d'Alep par Damas et Moscou, éloignant davantage tout espoir de règlement de la crise syrienne.