Renforcer la sécurité et la guerre antiterroriste, lutter contre la famine et relancer l’économie. Tels étaient les objectifs d’une conférence tenue cette semaine à Londres, pour soutenir la Somalie. La concrétisation de ces espoirs reste toutefois hypothétique.
L'opposition poursuit sa mobilisation populaire et maintient la pression sur le président socialiste Nicolas Maduro, qui a fait un nouveau faux pas en appelant à modifier la Constitution pour s'accrocher au pouvoir.
Déterminée à poursuivre la mobilisation jusqu'à la tenue d'élections anticipées, l'opposition a organisé cette semaine les manifestations les plus massives depuis le début de la crise qui secoue le pays il y a plus d'un an.
Le Nigeria et ses voisins conjuguent leurs efforts pour mettre fin à l’insurrection du groupe islamiste Boko Haram. Une Force d’intervention conjointe multinationale (FMM) vient de lancer une nouvelle offensive contre ce groupe.
Alors que les pays africains du lac Tchad s’apprêtent à une vaste offensive contre Boko Haram, ce groupe extrémiste poursuit ses attaques et menaces contre eux.
Né aux lendemains de la révolution du 25 janvier, Ganoubiya Horra est le premier mouvement féministe saïdi. Une décentralisation de l’action sociale qui brise les tabous, et qui tente de créer une mobilisation dans les provinces.
Cette semaine, coup de projecteur sur la confrérie des Frères musulmans à l’aube de la nouvelle année. A-t-elle encore un pouvoir de mobilisation ? Est-il possible qu’elle opère, dans une tentative de desserrer l’étau du pouvoir, une révision de son idéologie ? Autre dossier : L’Egypte va-t-elle participer au front islamique contre Daech ? Des éditos tentent d’y répondre.
Malgré la mobilisation internationale et africaine contre les groupes terroristes, cette semaine, trois pays du continent africain ont été les cibles d'attaques meurtrières.
La Cour d'appel des affaires urgentes a interdit, samedi, les activités des Ultras, supporters de football connus pour leur capacité de mobilisation.
A la suite de l'attaque contre le journal Charlie Hebdo à Paris et de la spectaculaire « marche républicaine » en France, Européens et Nord-Américains se sont mis d’accord pour renforcer la coopération antiterroriste. Mais ces contours restent flous.
Les appels à une « révolution islamiste » le 28 novembre n’ont pas trouvé d’échos dans la rue égyptienne. Des spécialistes décryptent les raisons de la faillite des salafistes à mobiliser une partie de la population.
Dans le cadre de la mobilisation internationale pour la lutte contre le terrorisme, Paris a organisé une conférence sur la paix et la sécurité en Iraq. Une conférence qui intervient après la création de la coalition internationale contre l'Etat Islamique (EI).
Tandis que la grève de la faim lancée la semaine dernière par des activistes réclamant la suppression de la loi sur les manifestations gagne du terrain, un recours contre la loi a été présenté cette semaine devant la Cour constitutionnelle.