Le premier ministre, Ibrahim Mahlab, s'est entretenu le 2 avril avec des représentants de partis politiques dans le cadre d'un dialogue sur l'amendement des lois électorales. Mahlab a affirmé que le premier tour des législatives aurait lieu avant le mois du Ramadan.
Des représentants des partis politiques sont invités ce jeudi par le premier ministre à un dialogue autour de l'amendement des lois électorales. Ils exigent que le scrutin de liste soit élargi.
A Komboha, proche d'Assiout, des jeunes ont décidé d’agir en ayant recours à des initiatives originales. Leur objectif : attirer l'attention des responsables et combler le manque de loisirs dans leur village.
Le syndicat des Journalistes s'attelle à mettre en conformité avec la Constitution les lois de la presse écrite et audiovisuelle. Un duel l'oppose au gouvernement.
Les chiffres indicateurs de la situation des enfants en Egypte sont alarmants. Depuis 2011, elle s'est beaucoup détériorée, lois et conventions sont bafouées. A l'occasion des 25 ans de la ratification de la Convention des droits de l'enfant, l'Hebdo ouvre le dossier.
Le ministère du Tourisme annonce une série de mesures pour lutter contre le harcèlement sexuel, qui nuit à la réputation de ce secteur. Les nouvelles lois viennent durcir ces mesures.
Le scrutin mixte a été retenu pour les prochaines législatives par la commission d'amendement des lois de l'exercice politique. Mais toute la classe politique n'est pas accord.
Les textes de lois en Egypte sont inefficaces lorsqu'il est question de la violence contre les journalistes de terrain.
Le président Mansour a promulgué deux décrets stipulant la création d’un conseil de la sécurité nationale et renforçant les pouvoirs de l’armée. Une mesure qui vise à uniformiser les lois avec la nouvelle Constitution.
Tarek Zaghloul, directeur général de l’Organisation Egyptienne des Droits de l’Homme (OEDH), estime que si des lois protègent certaines catégories de la population comme les handicapés et les personnes âgées, elles ne sont jamais respectées.
Les gouvernements qui se sont succédé depuis le 25 janvier ont tous suivi les politiques économiques en place sous Moubarak. Les hommes d'affaires proches de l'ancien régime ont toujours autant de pouvoir alors que les lois ouvrant grand la porte à la corruption continuent d'être en vigueur.
Les lois concernant les travailleurs ont toujours été étroitement contrôlées par le pouvoir. Les dernières lois syndicales sont perçues comme une ingérence des Frères musulmans.
Amal Abdel-Hadi, membre de l’ONG , La Nouvelle Femme
L’avocat Gamal Eid, directeur du Réseau arabe d’information sur les droits de l’homme (ANHRI), dénonce la politique de répression que le nouveau régime cherche à légaliser.
Promulgation de lois et décrets présidentiels avant d’en abroger certains par mauvais calcul politique ou juridique comme celui sur les taxes, pris et suspendu cette semaine en moins de 24 heures. Morsi suscite des questions sur ses capacités d’homme d’Etat.