Neuf mois après sa nomination, Lakhdar Brahimi, envoyé spécial de l'Onu et de la Ligue arabe en Syrie, est sur le point de démissionner. Un règlement politique de la guerre civile n'est jamais paru aussi peu improbable.
Tandis que les combats se poursuivent entre le régime de Damas et les rebelles, l'émissaire Lakhdar Brahimi propose de revenir à un ancien plan de sortie de crise, appuyé par Moscou et Washington, et la situation humanitaire ne cesse de se détériorer.
Avec l’appui de Moscou et de Washington, l’émissaire de l’Onu et de la Ligue arabe, Lakhdar Brahimi, tente de relancer un plan de sortie de crise basé sur la déclaration de Genève. Mais l’opposition refuse tout compromis politique et le pays continue à sombrer dans le chaos.
L’émissaire international, Lakhdar Brahimi, est en visite dans le pays dévasté par 21 mois de violences. Alors que le conflit s’éthnicise, il vient tenter encore une fois de trouver une issue politique.
Malgré les efforts du médiateur international pour la conclusion d’un cessez-le-feu à l’occasion de la fête musulmane de l’Aïd Al-Adha en fin de semaine, la probabilité qu’elle se réalise est jugée mince.
Alors que l’Union Européenne (UE) a imposé une nouvelle série de sanctions au régime de Bachar Al-Assad, le médiateur onusien, Lakhdar Brahimi, se livre à une course contre la montre pour parvenir à un cessez-le-feu avant fin octobre