Israël a fini par libérer un moine copte arrêté alors qu'il protestait contre les travaux effectués par les autorités israéliennes au monastère de Deir Al-Sultan. L'Eglise copte orthodoxe revendique la propriété de ce monastère, cédé par Israël aux Ethiopiens en 1970.

C’est dans un quasi-silence, voire un désintérêt internatio­nal, qu’Israël continue d’infliger le pire au peuple palestinien. Israël a déjà suspendu cette semaine les livraisons de fioul à la bande de Gaza, censées soulager les maux de ce territoire palestinien sous blocus depuis plus de dix ans et atténuer des mois de tensions.

Le président américain, Donald Trump, a surpris tout le monde en évoquant pour la première fois la solution à deux Etats dans le cadre du conflit israélo-palestinien. Aucun plan concret pour la relance de la paix n’a toutefois été annoncé.

La tension reste vive entre Israël et la Russie au sujet de la Syrie, plus d’une semaine après le crash d’un avion russe. Moscou se range du côté de son allié syrien, Tel-Aviv ne compte pas stopper ses actions contre l’Iran et le Hezbollah en terre syrienne.

Signés le 17 septembre 1978, les accords de Camp David ont posé le cadre d’une paix globale entre Israël et les Arabes. S’ils ont permis à l’Egypte de rétablir sa souveraineté sur le Sinaï et de se consacrer à son développement, le règlement définitif du conflit israéo-arabe reste lointain.

Saïd Okacha, expert des affaires israéliennes au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, revient sur les raisons de l’échec des accords d’Oslo, et assure que la solution à deux Etats reste la meilleure option. Entretien.

25 ans durant, Israël a torpillé toute chance d’instaurer un Etat palestinien viable à travers une série de mesures : judaïsation de Jérusalem, fragmentation des terres palestiniennes, expansion des colonies, entre autres. Une politique du fait accompli qui mine toute option de paix.

Le Congrès américain a honoré l’ancien président, Anouar Al-Sadate, à l’occasion du 40e anniversaire de la signature des accords de Camp David entre l’Egypte et Israël.

Saïd Okacha, expert des affaires israéliennes au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, revient sur les effets de la loi fondamentale définissant le pays comme l’Etat-nation du peuple juif.

Israël enfonce un peu plus le clou en adoptant une loi fondamentale définissant le pays comme « l’Etat-nation du peuple juif ». Un texte anti-démocratique qui consacre le racisme et qui met un point final à toute option de paix.

Grâce à une médiation égyptienne, un cessez-le-feu a été conclu entre le Hamas palestinien et Israël. La situation reste toutefois tendue.