Malgré la tenue de plusieurs réunions entre le premier ministre et différents dirigeants de partis politiques et l'appel pressant du roi du Maroc, Mohamed VI, pour la formation rapide d'un gouvernement, la situation est loin d'être débloquée.
Spécialiste des mouvements islamistes et des impacts religieux sur la société et l’Etat, Nabil Abdel-Fattah analyse pour l’Hebdo les mutations en cours en Egypte, les contradictions qu’elles engendrent et leur influence sur l’avenir.
Malgré un bilan en demi-teinte, le parti islamiste PJD, au pouvoir depuis cinq ans, a remporté les législatives marocaines du 7 octobre.
Dans son nouveau livre Azmet Al-Haraka Al-Islamiya Fi Misr (la crise du mouvement islamiste en Egypte), le journaliste Kamal Habib, ancien membre de la Gamaa Islamiya, revient aux sources de la crise des mouvements islamistes. Compte rendu.
Voulant se repositionner de nouveau sur l’échiquier politique et redorer l’image de plus en plus dégradée de l’islam politique, après la chute des Frères en Egypte, les islamistes de la région adoptent de nouvelles stratégies et un nouveau discours. Des tentatives de s’adapter aux changements régionaux.
Trois ans après la chute des Frères musulmans, dissensions internes et rejets externes touchent les mouvements islamistes, remettant en cause leur expérience. La place de l'islam politique reste pourtant au coeur de la controverse.
Le carnage de Paris s’inscrit dans une longue série d’attaques revendiquées par la mouvance islamiste.
Evoquant des difficultés financières et un climat « non favorable » les partis pro-25 Janvier et les islamistes (hormis Al-Nour) sont absents de ces législatives 2015.
Avec la rentrée universitaire, les mesures de sécurité ont été renforcées au sein des campus. Reportage à l’Université du Caire où le port du niqab a été interdit pour les enseignantes.
Ali Bakr, spécialiste des mouvements islamistes, sur les événements récents en Tunisie et au Koweït.
Malgré une vingtaine de tentatives, le Liban reste sans président depuis un an en raison des divergences politiques internes et des tensions régionales.
Les négociateurs libyens ont achevé leur 3e round de discussions sur une note d’optimisme. Rien n’est pourtant encore garanti pour la formation d’un gouvernement d’union nationale.