Après deux semaines de calme précaire, des milliers d’Iraqiens sont descendus dans la rue. Des manifestations d’ampleur qui risquent de perdurer.
D'importantes manifestations contre les mauvaises conditions économiques et la corruption ont éclaté à Bagdad et dans plusieurs villes iraqiennes tout au long de la semaine dernière. Le gouvernement a promis une série de mesures sociales pour calmer la rue.
Le documentaire Baytou Al-Nahrayne (la maison des deux fleuves), de la Syrienne Maya Mounir, montre la détresse des minorités victimes de conflits armés à travers l’histoire d’une famille sabéenne-mandéenne, partie d’Iraq pour s’installer en Syrie. Elle y sera de nouveau rattrapée par la guerre.
Pris en étau entre ses deux grands alliés, Bagdad tente de jouer le rôle de médiateur entre Téhéran et Washington. Car tout conflit potentiel entre ces deux pays aurait inévitablement de lourdes répercussions sur l’Iraq.
Un sommet égypto-iraqo-jordanien s’est tenu cette semaine au Caire. Objectif : conjuguer les efforts pour rétablir la sécurité dans la région.
En visite en Egypte, le premier ministre iraqien a été reçu par le président Abdel-Fattah Al-Sissi. Au centre des discussions : la contribution du Caire aux efforts de reconstruction en Iraq et la lutte contre le terrorisme.
Dans le cadre de l’année Egypte-France, le chorégraphe et metteur en scène Walid Aouni présentera, avec la troupe de danse-théâtre de l’Opéra du Caire, le spectacle Les Larmes de Hadid à Aix-en-Provence. Celui-ci fait référence au style de l’architecte d’origine iraqienne Zaha Hadid, disparue en 2016.
Le devenir des combattants djihadistes et de leurs familles est l'un des grands enjeux de l'après-Daech en Iraq et en Syrie. Le vrai défi consiste à remporter aussi la bataille idéologique sur cette organisation terroriste.
L’état des sociétés européennes secouées par la peur des migrants venus du monde arabe, tel est le sujet au coeur du film Sons of Denmark (les fils du Danemark), du réalisateur iraqo-danois Ulaa Salim.
Sons of Denmark (les fils du Danemark), le film du réalisateur iraqien Ulaa Salim, vient d’être projeté à la compétition officielle du 48e Festival international du film de Rotterdam, qui s’est achevé le 3 février. Entretien avec le cinéaste qui vit au Danemark.
Ils ont fui le Soudan, la Syrie, l’Iraq, le Yémen... et vivent actuellement en Egypte. Si certains réfugiés espèrent rentrer chez eux dans un futur proche, d’autres ont fait
de leur terre d’accueil leur lieu de résidence permanent.
Bagdad a connu cette semaine un véritable ballet diplomatique. On a notamment accueilli les chefs de la diplomatie des deux grands alliés de l’Iraq, l’Iran et les Etats-Unis, eux-mêmes grands ennemis.
Le nouveau président iraqien, Barham Saleh, s'est récemment rendu à Téhéran et à Riyad, deux rivaux régionaux avec lesquels l'Iraq tente de contrebalancer ses relations. Les sanctions américaines contre l'Iran, important partenaire commercial de l'Iraq, imposent de nouvelles règles du jeu.
Depuis 2003, année de l’invasion américaine de l’Iraq, bien des bouleversements ont eu lieu dans ce pays toujours en quête de stabilité. Retour sur les dates et les événements-clés.
Confronté à une sévère pénurie d’électricité et fortement dépendant de son voisin iranien pour son énergie, l’Iraq est directement touché par les sanctions contre l’Iran.
Sameh Rashed, directeur de rédaction de la revue Al-Siyassa Al-Dawliya, analyse les enjeux de la politique régionale de l’Iraq et les opportunités qui s’offrent aux pays arabes pour se présenter comme une alternative à l’influence iranienne.
Ali Nouri est un sculpteur iraqien qui a élu domicile en Egypte. Tranquille et paisible en apparence, il porte en lui le feu des années de guerre et d'un art qui le passionne.
La Turquie, la Jordanie et l’Iraq accueillent environ 5 millions de réfugiés syriens. Un véritable fardeau qui les a poussés à refuser d’en accueillir plus et à encourager leur retour volontaire.