Le comité tripartite en charge de statuer sur la construction du barrage éthiopien vient de trouver un accord. L'Egypte, le Soudan et l'Ethiopie ont établi une feuille nommant les experts chargés de statuer sur l'avenir du barrage
L’Ethiopie est devenue le pays qui accueille le plus grand nombre de réfugiés à l’échelle continentale, a indiqué un communiqué publié récemment du Haut-Commissariat de l’Onu pour les Réfugiés (HCR).
Le ministre égyptien des Ressources hydriques et de l'Irrigation a accepté de se rendre sur le chantier du barrage éthiopien. Malgré des signes de détente, les dernières négociations tenues à Khartoum n’ont réglé aucune question d’importance.
L'Egypte entame, le 25 août à Khartoum, des négociations sur le barrage d'Al-Nahda avec l’Ethiopie et le Soudan. Objectif : convaincre les Ethiopiens de modifier les spécificités techniques du barrage, de manière à ne pas porter atteinte à la part de l’Egypte dans les eaux du Nil.
Le géologue Abass Al-Chéraki, expert hydraulique au Centre des recherches et des études africaines à l’Université du Caire, tempère la « catastrophe » invoquée par l’Egypte, que provoquerait le barrage en Ethiopie.
La construction en Ethiopie d’un barrage hydroélectrique sur le Nil Bleu continue de provoquer de vives tensions avec Le Caire. L’Egypte a peur d’une réduction de son quota sur les eaux du fleuve et vient d’être lâchée par le Soudan, pourtant un allié de longue date.
Face à une option diplomatique quasiment bloquée avec l’Ethiopie qui poursuit la construction du barrage, des voix s’élèvent pour trouver une issue juridique au conflit.
Sans surprise, le trio de l'Afrique de l'Ouest, le Cameroun, la Côte d'Ivoire et le Nigeria, s'est qualifié à la phase finale de la Coupe du monde 2014 en battant respectivement la Tunisie, le Sénégal et l'Ethiopie le week-end dernier.
La 6e et dernière journée de la phase de poule des éliminatoires de la Coupe du monde 2014 s’est déroulée du 6 au 10 septembre, et a donné lieu à des résultats inattendus.
Dans un discours aux accents patriotiques, le président Morsi a appelé les Egyptiens à s’unir face au défi que représente le projet du barrage éthiopien sur le Nil. Le ton ferme n’empêche toutefois pas les démarches diplomatiques.
Le colosse régional qu’est l’Egypte serait-il en train de s’effondrer ? La question ravivée par la construction du barrage de la Renaissance en Ethiopie taraude beaucoup d’Egyptiens et secoue beaucoup d’éditorialistes qui crient au danger imminent.