L’Egypte a signé seule l’accord tripartite sur le barrage après que l’Ethiopie eut boycotté, à la dernière minute, la réunion convoquée à Washington par les Etats-Unis les 27 et 28 février pour la conclusion d’un accord final. Les interrogations pèsent désormais sur la suite des négociations.
L'Egypte, l'Ethiopie et le Soudan sont parvenus à Washington à s'entendre de manière préliminaire sur les règles de remplissage et de fonctionnement du barrage de la Renaissance. Un accord final devrait être signé le 12 février.
Les négociations en cours sur le barrage de la Renaissance entre l'Egypte, le Soudan et l'Ethiopie semblent piétiner. Le Caire dénonce une « intransigeance éthiopienne ».
La nouvelle année s’annonce décisive pour le dossier litigieux du barrage de la Renaissance. Les négociations avec l’Ethiopie et le Soudan, sous médiation américaine, progressent mais doivent encore surmonter quelques obstacles.
Tenues sous les auspices des Etats-Unis et de la Banque mondiale, les négociations tripartites (Egypte, Ethiopie, Soudan) sur le barrage de la Renaissance avancent. Les observateurs sont optimistes.
L’accord-cadre signé en mars 2015 entre l’Egypte, le Soudan et l’Ethiopie est au coeur du nouveau cycle des négociations à Washington.
Réunis à Washington le 6 novembre 2019, l’Egypte, l’Ethiopie et le Soudan se sont engagés, sous le parrainage américain et en présence de la Banque mondiale, à régler, d’ici deux mois, les différends sur le barrage de la Renaissance.
L’Egypte et l’Ethiopie ont convenu de reprendre les négociations techniques sur le barrage de la Renaissance.
Le gouvernement a présenté cette semaine devant le parlement le bilan des négociations avec l’Ethiopie et le Soudan sur le barrage de la Renaissance.
Le projet de construction du grand barrage de la Renaissance a donné lieu à des différends entre l’Ethiopie, l’Egypte et le Soudan. Retour sur les dates-clés.
Les négociations des 15 et 16 septembre au Caire entre les ministres de l’Irrigation d’Egypte, d’Ethiopie et du Soudan n’ont donné lieu à aucun consensus sur le barrage de la Renaissance. Une nouvelle réunion est prévue fin septembre à Khartoum.
Ayman Abdel-Wahab, spécialiste des affaires africaines au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, évoque les futures négociations entre l’Egypte, l’Ethiopie et le Soudan concernant le barrage éthiopien de la Renaissance. Entretien.
Israël a fini par libérer un moine copte arrêté alors qu'il protestait contre les travaux effectués par les autorités israéliennes au monastère de Deir Al-Sultan. L'Eglise copte orthodoxe revendique la propriété de ce monastère, cédé par Israël aux Ethiopiens en 1970.
Les pressions sur le premier ministre éthiopien ne baissent pas. Des militaires ont tenté, selon lui, de « faire échouer » le processus de réformes en cours.
La région de la Corne de l’Afrique témoigne actuellement d’une nouvelle ère de paix. Après la signature d’un accord historique entre la Somalie, l’Ethiopie et l’Erythrée, le 5 septembre, les efforts se déploient pour un rapprochement entre Djibouti et l’Erythrée.
Dr Sayed Fleifel, président de la commission des affaires africaines au parlement, explique la nouvelle orientation de l’Ethiopie sous le mandat d’Abiy Ahmed et son impact sur les négociations du barrage de la Renaissance.
Les récentes déclarations du premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, selon lesquelles la construction du barrage souffre de problèmes techniques et financiers, ont provoqué beaucoup de remous. Ce report temporaire ouvre pourtant la voie vers plus de flexibilité dans les négociations.
Réconcilier les frères ennemis dans le plus jeune pays d’Afrique, le Soudan du Sud, et mettre fin à l’un des plus vieux conflits frontaliers du continent (Erythrée-Ethiopie) : la volonté régionale et internationale de restaurer la paix en Afrique se manifeste de plus en plus.