De la Jordanie aux Etats-Unis en passant par la France, des actes terroristes sont commis de manière individuelle, mais au nom de l’Etat islamique. Un phénomène qui risque de prendre de l’ampleur.
A l'invitation de Paris, une conférence internationale sur le Proche-Orient se tient le 3 juin dans la capitale française. Le succès de la médiation française dépend de la position du parrain historique du conflit israélo-palestinien, à savoir les Etats-Unis.
Le pétrole a franchi les 50 dollars le baril, près de deux fois son prix du début de l'année. Les stocks de brut ont fortement diminué la semaine dernière aux Etats-Unis et l’on s'achemine vers un rééquilibrage du marché pétrolier.
La coalition internationale contre Daech existe depuis l’automne 2014. Elle est menée par les Etats-Unis, qui mènent 90 % des frappes en Iraq et en Syrie.
Grands absents des tables de négociations, les Kurdes syriens ont pourtant une présence militaire incontournable sur le terrain en étant en première ligne face à Daech.
Cette fois, c’est une offensive artistique que Moscou a lancée. Le théâtre Mariinsky a organisé un concert surprise jeudi dernier dans l’amphithéâtre de la cité antique de Palmyre, dans le centre de la Syrie, reprise voici un peu plus d’un mois aux djihadistes du groupe Etat Islamique (EI) grâce à l’appui aérien russe.
Ammar El Korbi, secrétaire général du Courant de l’Avenir, groupe syrien d’opposition modéré, estime que tout se joue entre les puissances régionales et internationales.
La guerre s'intensifie à Alep. La communauté internationale, toujours impuissante, reste les bras croisés face à ce conflit féroce qui ravage la Syrie.
Puissance financière de premier plan, l’Arabie saoudite menace les Etats-Unis de représailles économiques si une loi permettant d'inculper des dirigeants saoudiens, dans le cadre des attentats du 11 septembre, passe au Congrès.