Réclamée depuis des décennies, la modification du règlement d’élection du pape ne fait pas le consensus chez les coptes. Débat.
Les modifications introduites dans la loi régissant la future élection présidentielle font l’objet d'un vif débat. Davantage de garanties sont exigées pour la régularité du scrutin.
Moustapha Kamal Al-Sayed, professeur de sciences politiques à l'Université du Caire, estime que la balance penche du côté des militaires pour la future élection présidentielle.
Les partis islamistes pourront-ils entrer directement dans la course à l'élection présidentielle ou suivront-ils en rangs serrés un candidat de consensus ? Quel que soit le choix, leur poids n'est pas à négliger.
Les révolutionnaires se disent sur le point de former une coalition chargée de nommer un candidat à l'élection présidentielle. Leur mission sera toutefois délicate.
Malgré les protestations d'une partie de l'opposition tunisienne, le ministre sortant de l'Industrie, Mehdi Jomaâ, a été désigné premier ministre. Il doit faire sortir le pays d'une profonde crise politique.
Malgré les craintes de violence, les élections législatives au Mali se sont tenues cette semaine dans le calme.
L'Afghanistan se prépare pour l'élection présidentielle d'avril prochain. Le scrutin, qui coïncidera avec le retrait prévu des troupes de l'Otan, sera un test pour la sécurité du pays.
Les législatives au Kurdistan iraqien interviennent dans un contexte très particulier aussi bien au sein de l'Iraq que dans la région. Les Kurdes tentent d'en tirer profit.
Les trois grands favoris des élections présidentielles malgaches, hautement controversés, ont été écartés du scrutin. Une décision saluée par la communauté internationale
La victoire aux élections présidentielles du réformateur Hassan Rohani permet à l'Iran d'améliorer son image ternie sur la scène internationale, et relance les espoirs d'une percée sur le dossier nucléaire.
Comme prévu, le camp présidentiel en Guinée équatoriale a remporté la majorité absolue aux élections parlementaires. L'opposition dénonce des fraudes.
« Pas crédible », « pas tenable » : la date des élections au Mali, imposée par la France, est fortement critiquée. Au-delà d’une logistique que Bamako semble incapable d’assumer, le pays reste divisé et Aqmi demeure menaçant.