Ancien membre du Conseil militaire, Tareq Al-Mahdi est le 5e gouverneur d’Alexandrie depuis le 25 janvier 2011. Il annonce la fin des coupures d’eau d’ici un mois et affirme s’attaquer sérieusement au problème des constructions illégales. Plusieurs projets d’infrastructures devraient aussi reprendre rapidement.
L'Onu a ouvertement accusé le Rwanda de soutenir la rébellion congolaise du M23. Le risque d'une régionalisation du conflit plane à nouveau
Ancien directeur du secteur du Nil au ministère des Ressources hydriques, Abdel-Fattah Motawea parle de la crue du Nil, assez faible cette année, et évoque le dossier épineux du partage des eaux du fleuve.
Le sol de la mosquée Ahmed Beik Kohiya, au Caire islamique, est envahi par les eaux souterraines. Joyau de l'art mamelouk et ottoman, cette mosquée avait pourtant été restaurée à grands frais il y a trois ans.
Abdel-Qawi Khalifa, ministre des Services de l’eau potable et de l’assainissement.
Pour l'Egypte, la menace sur les ressources hydriques est lourde à court terme. La population du Delta du Nil vit déjà en dessous du seuil de pauvreté de 1 000 m3 d’eau par an et par individu. Le pire est à éviter.
Les changements climatiques, le développement durable et l'impact du barrage éthiopien de la Renaissance actuellement en construction ont été les thèmes d'un atelier parrainé par l’ambassade d’Allemagne en Egypte. Compte rendu.
Dans plusieurs quartiers d'Alexandrie, les pénuries d’eau s’ajoutent aux coupures de courant. Les carences de la distribution sont reconnues par les responsables, mais les solutions prendront du temps à être mises en oeuvre.
Gouvernance et financement pour la Méditerranée dans le secteur de l’eau, projet labellisé par l’Union Pour la Méditerranée (UPM), a été lancé durant une conférence régionale tenue fin mai à Barcelone, en Espagne.
Mohamad Salman Taea, expert en ressources hydrauliques et auteur de Vers une pénurie prochaine, estime dans son étude que les 5 indices portant sur la sécurité en eau tendent à se dégrader en Egypte
La construction du barrage de la Renaissance rend la recherche d’alternatives aux eaux du Nil indispensable. Or, non seulement ces alternatives sont limitées, mais le coût du traitement de ces eaux est prohibitif.
L'Egypte, un vaste désert ? C'est la crainte que suscite le barrage de la Renaissance construit par Addis-Abeba sur le Nil Bleu. Le Caire prévient : l'eau du fleuve est une question de survie, il est hors de question de réduire son débit d'une seule goutte. La polémique enfle.
Les ressources naturelles de l’Egypte diminuent dangereusement. L’eau est la première concernée : sa surexploitation pourrait entraîner un assèchement des réserves. Pour les spécialistes, c’est avant tout l’état d’esprit des responsables qu’il faut changer.
Depuis plusieurs semaines, les consommateurs sont confrontés à des pénuries chroniques d’eau en bouteille. Cette insuffisance de l’offre a parfois entraîné une hausse de 100 % du prix du litre.Explications
Les impacts se font ressentir en Egypte, surtout en ce qui concerne l’eau et l’agriculture, ce qui aura des conséquences négatives sur l’économie et sur la vie des citoyens. De nouvelles stratégies sont donc urgentes.