Roshmia, documentaire de Salim Abu Jabal, a été donné en première au Caire, à la salle Zawya. Le conflit israélo-palestinien est narré de manière profonde et humaine, sans clichés.
Le documentaire ukraino-hollandais, Maidan, de Sergeï Loznitsa, réussit à capturer des moments historiques pris sur le vif. Projeté au Caire, il prend tout son sens quatre ans après le 25 janvier.
La compétition officielle a fait place pour la première fois aux documentaires et aux films d'animation. Parmi ceux-ci : Giovanni's Island (l'île de Giovanni) et We Come As Friends (nous venons en amis).
Amir Ramsès tisse avec beaucoup de sensibilité et d'émotion la deuxième partie de son documentaire Juifs d’Egypte : La fin du voyage. Le film est centré sur le personnage de Magda Haroun, présidente de la communauté juive d’Egypte.
Moug (vagues) est le premier documentaire du jeune Ahmad Nour. Ce portrait touchant d’une génération, d’une ville et d’une révolution vient de décrocher le prix du meilleur film au Festival d’Ismaïliya.
Parmi les premières projections, deux oeuvres mettent en lumière le monde musulman : Timbuktu d’Abderrhamane Sissako et le documentaire Eau argentée : Syrie autoportrait.
La révolution du 25 janvier fut une merveilleuse source d'inspiration pour les réalisateurs de documentaires. Mais depuis le 30 juin, ces derniers sont confrontés à de multiples problèmes, dont une intolérance croissante des citoyens lorsqu'ils filment dans la rue.
The Square (al-midane), film-événement des Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal (RIDM), a montré la résolution du peuple égyptien à obtenir ses droits.
Un des documentaires marquants du festival fut Common Enemy (Espagne, Tunisie) de Jaime Otero, en diapason avec l’actualité brûlante. Il se passe au moment des premières élections libres en Tunisie.
Omni présente dans les films de la 16e édition du Festival international d’Ismaïliya des documentaires et des courts métrages, la politique s’est aussi imposée dans les débats et les coulisses du festival.
Le décès de la présidente de la petite communauté des juifs d’Egypte, Carmen Weinstein, a coïncidé avec la projection d’un documentaire sur son histoire. Mais sans reconnaissance officielle, elle restera confinée quelque part entre la nostalgie et le reniement. Analyse
Sur les juifs d’Egypte touche à un tabou : le départ des juifs égyptiens dans les années 1950. Le documentaire d’Amir Ramsès a failli être censuré mais est finalement sorti en salle. Un film révélateur à bien des égards ...
Applaudi dans les festivals internationaux pour la délicatesse et l’importance de son contenu, le documentaire Polluting Paradise (polluer le paradis), du réalisateur turco-allemand Fatih Akin, retrace l’histoire vraie d’un désastre écologique en Turquie.
Après avoir publié 3 ouvrages et réalisé un documentaire présenté la semaine dernière au syndicat des Journalistes, Chérif Abdel-Méguid prépare un nouveau projet dans la veine de La Description de l’Egypte. Entretien.