Les premières législatives depuis le départ des troupes américaines se déroulent ce mercredi en Iraq. Le premier ministre sortant, Nouri Al-Maliki, reste favori malgré le climat de violences et la crise politique aiguë.
Le Liban vacille entre une crise politique interne à répétition et les répercussions de la guerre en Syrie, qui se font de plus en plus menaçantes.
Le premier ministre pakistanais, Nawaz Sharif, rejette les appels à une offensive militaire contre les talibans qui ont intensifié leurs attentats depuis le début de l'année. Pour lui, le dialogue avec les rebelles reste l'unique option.
Depuis juillet 2013, la Tunisie est plongée dans une crise politique sans précédent. Le pays se tourne vers de nouvelles élections présidentielle et parlementaires.
Le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, tente de s'accrocher et de résister à la crise politique qui secoue le pays.
Le gouvernement iraqien s'est engagé dans une vaste campagne contre des insurgés sunnites jugés proches d'Al-Qaëda. Cette dernière accentue davantage la crise politique en Iraq exacerbée par les luttes et les violences confessionnelles.
Malgré les protestations d'une partie de l'opposition tunisienne, le ministre sortant de l'Industrie, Mehdi Jomaâ, a été désigné premier ministre. Il doit faire sortir le pays d'une profonde crise politique.
Les médiations internationales se poursuivent pour trouver une issue à la crise politique alors que les islamistes sont toujours dans la rue et que le pouvoir donne des signes d’impatience.
Après 18 mois d’une crise politique et militaire qui a plongé le pays dans le chaos, les Maliens ont voté en grand nombre, dimanche 28 juillet, au premier tour d’une présidentielle sans incidents.
La présidence rejette l’ultimatum de 48h annoncé par l’armée pour régler la crise politique. Mais pour ses opposants, l’après-Morsi est déjà en préparation.
Les efforts s’intensifient pour trouver un dénouement à la crise politique entre les islamistes au pouvoir et l'opposition. Pourtant, les manifestations et la violence se poursuivent. Etat des lieux.
Scènes d’affrontements avec la police, violences à l’égard d’activistes, suivies de leur mort, et entêtement du régime à rester inflexible sur sa façon de gouverner...Les événements de ces derniers jours sont bien loin des attentes post-révolutionnaires et l’avenir du pays apparaît d’autant plus bouché.
Le parti salafiste Al-Nour et des membres du Front national du salut ont rédigé une initiative politique commune. Beaucoup s’insurgent contre ce rapprochement jugé contre nature.
Une marche partant de la mosquée d'Al-Nour vers le palais présidentiel a été organisée samedi 2 février en l'honneur de Christy, tombé sous les balles des policiers. Témoignages d'une souffrance.
Les récentes scènes de violences policières, filmées en direct, dévoilent un peu plus les méthodes de cette institution très critiquées. Le ministère de l'Intérieur semble incapable de se réformer au risque de provoquer une révolution.
Sortant d'un silence trentenaire, Al-Azhar a invité tous les partis politiques à prendre leurs responsabilités et à signer un traité de non-violence. Saluée dans son ensemble, l'initiative n'a cependant eu aucun impact dans la rue.
Depuis le 25 janvier, les revendications restent les mêmes : « Pain, liberté et justice sociale ». Le gouvernement est critiqué pour sa manière de gérer tant l’économie que les crises politiques. Les grèves et les manifestations n’ont jamais été aussi nombreuses
Certains éditorialistes prévoient le pire pour l’avenir de l’Egypte qui viendra se greffer sur la crise politique. La disparition de l’Etat de droit au profit de hordes qui font la loi. Mais du côté des islamistes, les éditos se réjouissent du résultat du référendum et prédisent un avenir radieux.
La réaction molle des Etats-Unis est choquante pour certains, révélatrice pour d’autres. Les événements reproduisent trait pour trait la stratégie qui maintenait Moubarak au pouvoir : le soutien absolu de l’administration américaine au régime, en contrepartie de la garantie de la sécurité d’Israël.