L'EI conforte sa présence en Iraq malgré les frappes de la coalition, alors que les autorités ne font toujours rien pour s'attaquer au fond du problème.
Les bases turques seront utilisées par la coalition dans les frappes contre l'EI en Syrie. L'objectif est de sauver les régions kurdes, mais aussi d'affaiblir le régime d'Al-Assad.
La Turquie et l'Iran restent hésitants face à la coalition emmenée par Washington contre l’Etat islamique. Les deux pays devraient cependant aider la coalition dans sa lutte contre Daech.
Les Etats-Unis cherchent à rallier l’Egypte à leur coalition contre Daech, qui comprend déjà cinq pays arabes. Le Caire se dit prêt à faire le pas, mais avance ses conditions.
Après Al-Wassat, le parti Al-Watan a quitté à son tour la coalition de soutien à la légitimité, un front islamiste pro-Morsi formé après son éviction en juillet 2013.
Pour ce qui est de la coalition anti-EI, l’Iran et les Etats-Unis se sont tournés le dos. Pour les Occidentaux, pas question de collaborer avec les Iraniens. D’ailleurs, l’Iran n’a pas été convié à la réunion de Paris.
Dans le cadre de la mobilisation internationale pour la lutte contre le terrorisme, Paris a organisé une conférence sur la paix et la sécurité en Iraq. Une conférence qui intervient après la création de la coalition internationale contre l'Etat Islamique (EI).
Al-Sayed Al-Badawi, président du néo-Wafd qui dirige une coalition de plusieurs partis en prélude aux élections législatives, affirme qu’il ne se rapprochera ni du nassérien Hamdine Sabahi, ni des salafistes d’Al-Nour.
Les anciens membres du PND dissous s'organisent pour investir à nouveau la scène politique. A quelques mois des législatives, ils ont déjà intégré plusieurs coalitions.
Le parti islamiste Al-Wassat se retire de l’alliance pour le soutien à la légitimité, la coalition pro-Morsi. Affaiblie, cette dernière pourrait disparaître. Une décision stratégique n’est pas à exclure.
Le parti salafiste Al-Nour est rejeté par les partis laïques qui se regroupent en coalitions à l’approche des législatives. Entretien avec Younès Makhioun, chef du parti.
Tandis que le président élu se préparait à son investiture officielle, ses partisans cherchaient à former une coalition pour le soutenir au Parlement.
Choqué par les quotas consacrés aux femmes et aux coptes dans la loi sur les élections législatives, le parti Al-Nour révise ses calculs et cherche une coalition pour y adhérer.
Les révolutionnaires se disent sur le point de former une coalition chargée de nommer un candidat à l'élection présidentielle. Leur mission sera toutefois délicate.
La Coalition nationale syrienne représente la Syrie aux réunions de l'Assemblée générale de l'Onu. Un pas en avant important, mais la chute de Bachar Al-Assad paraît toujours impossible.